Classique...Passionnément

Merci ma MJ !!!
Tu es vraiment un amour ...
Si tu continues, tu vas être obligée d'éditer un catalogue d'extraits

sunny a écrit:

Si tu continues, tu vas être obligée d'éditer un catalogue d'extraits

Malheureusement je ne pourrai pas les garder tous très longtemps actifs faute de place Mais ce sera assurément un déchirement quand il faudra choisir pour en supprimer .

Mj

Est-ce que, toujours par hasard, quelqu'un connaîtrait l'opera "Parthenopé" de mon excellent ami Haendel ?
Ce serait juste pour pouvoir en discuter
Pour la petite histoire, je le connais dirigé par Sigiswald Kujiken, parce qu'il est aussi dirigé par d'autres.

Et Orphée de Glück ? (on sait jamais...)

je viens juste de me souvenir que mon premier 33 tours classique acheté en angleterre c'est les planètes de j'sais plus qui
sibelius, non ?

Voilà ce que j'ai trouvé mon Bruno. D'ailleurs c'est une découverte, je ne connaissais pas.

Suite pour orchestre « Les Planètes » de Gustav Holst

Cette extraordinaire suite pour grand orchestre est l’œuvre la plus célèbre de ce compositeur britannique qui a été influencé entre autres par Claude Debussy.

Tournant autour de la signification astrologique des planètes du système solaire, la Musique des planètes est un véritable festival d’émotions qui, au travers de sept thèmes, entraînera les enfants à la découverte de Mars le belliqueux, de Vénus la pacifique, de Mercure le messager ailé, de Jupiter, celui qui apporte la joie sans oublier Neptune, le mystique, Saturne, celui qui personnifie la vieillesse et bien sûr Uranus… le magicien !

le lien ne marche pas, là Mj (mais ce n'est pas grave, vu que ceux d'avant, si )

Sinon, pour ceux qui aime la musique de cours du 17ème siècle, je signale l'iniative du Musée du Château de Versailles, qui chaque été enchante les jardins... ils éditent aussi donc, une "compil" desmorceaux choisit chaque année (souvent par un spécialiste). je vous retrouveras celle de 2005. C'est un bon moyne de découvrir cette musique, je trouve

Kusanagi a écrit:

le lien ne marche pas, là Mj (mais ce n'est pas grave, vu que ceux d'avant, si )

Oups ! Je le remettrai en fin de message pour que nos amis n'aient pas à remonter trop loin en arrière


"On ne peut pas parler d'Haendel sans évoquer les Castrats"
Pratique épouvantable, à l'époquie où l'église interdisait aux femmes de chanter dans les lieux sacrés.
Le répertoire ne s'est pas éteint cependant avec la disparition de ces cruautéset de nombreux artistes , contre-ténors ou sopranistes le perpétue pour notre plus grand plaisir.
Un texte de Dominique Fernandez :

Le temps des Castrats

Pendant le XVII ème et le XVIIIème siècles , l’Europe musicale fut dominée par les Castrats. On choisissait, pour les châtrer , de jeunes garçons doués d’une jolie voix. L’opération consistait à écraser les testicules dans de l’eau bouillante. Ces enfants étaient prélevés dans les campagnes misérables de l’Italie du sud, là où l’espérance de vie, parmi les cailloux arides et les familles nombreuses , ne dépassait pas trente ans . Le petit châtré entrait dans l’un des quatre conservatoires de Naples. Pendant dix ans , il recevait gratis une instruction complète , musicale, littéraire, historique. Ses frères, pendant ce temps, restaient pouilleux et analphabètes, s’ils n’étaient pas morts de faim. Avait-il du talent , une riche carrière s’ouvrait devant le jeune chanceux. S’il n’en avait pas , il devenait curé , promotion sociale inespérée pour un rejeton de Calabre. Ceux qui s’élève contre la barbarie de la castration oublient les avantages considérables qui compensaient une petite diminution physique, d’ailleurs moins radicale qu’on ne le pense. Leurs nombreuses aventures érotiques, avec des hommes ou avec des femmes, prouvent que les castrats étaient capables de faire l’amour. L’opération quand elle était bien faite, les rendaient stériles, non impuissants.
Le plus souvent adoptés et protégés par quelque haut personnage de l’aristocratie ou de l’Eglise, ils arrivaient à l’âge adulte pourvus d’une formidable technique. Le timbre si singulier de leur voix conjugué à une virtuosité dont on n’a pas l’idée aujourd’hui—ne disait-on pas que le plus grand d’entre eux , Farinelli, pouvait descendre trois octaves en trillant sur chaque note ?—explique la vogue fabuleuse dont ils ont joui pendant deux siècles .On se pâmait en les écoutant ; Rousseau et Stendhal les adoraient, Monteverdi, Haendel, Gluck, Mozart écrivaient pour eux, et Rossini encore en 1864 dédiait sa messe « aux chanteurs des trois sexes ».Eh oui ! Au Vatican on continuait à pratiquer en douce l’opération, bien qu’elle fût officiellement interdite .Le dernier castrat connu, Alessandro Moreschi , était né en 1858. Il fut « amélioré » comme on disait alors, dix ans plus tard, et chanta à la chapelle Sixtine jusqu’en 1913. L’enregistrement miraculeux qu’on possède date des premières années du siècle ; il s’agit en outre d’un talent moyen et dépourvu de la technique des grands castrats d’opéra puisque les conservatoires spécialisés dans la fabrication des petits rossignols avaient été supprimés au début du XIXème Siècle sous la pression des idées humanitaires françaises . Il est impossible pourtant d ‘écouter cette voix sans frissonner. Elle seule nous laisse deviner cette inquiétante étrangeté qui subjuguait les théâtres de l’époque baroque.
L’interdiction faite aux femmes de chanter à l’église explique la présence des castrats au Vatican, mais aucunement la multiplication de ces chanteurs sur toutes les scènes d’Italie et d’Europe ( sauf en France, trop puritaine et cartésienne pour admettre ces troubles délices), où ils se produisaient avec des partenaires féminins. On aimait leur voix pour elle-même, on raffolait de ce timbre à la fois céleste et pulpeux , où se mariait, comme dans les mythes grecs de l’androgynie, la puissance de l’homme, la volupté de la femme et la pureté de l’enfant. Le plus curieux, c’est que ces êtres privés d’une partie de leur virilité n’étaient pas appelés à tenir des rôles de femmes ou de jeunes gens efféminés. Non , on leur confiait les rôles les plus virils ; ils jouaient les rois, les conquérants , les chefs d’armée ; Hercule, le dieu du muscle chantait par leur voix haut perchée ; et de même Alexandre ou Achille. Haendel, écrivit pour eux les rôles du souverain perse Xerxès,, de l’empereur romain Jules César. Pourquoi ces distributions apparemment incongrues , sinon parce que le vrai héros doit posséder les deux sexes ? Le XVIIIème siècle répugnait à cette division des emplois que le XIXème bourgeois, utilitaire et plat, a instaurée. On s’étonnera moins de trouver à leur répertoire un personnage caractérisé par son ambiguïté sexuelle , le divin Orphée, un castrat chez Gluck aussi bien que chez Monteverdi –ou plutôt comme on les appelait alors , un musico, le musicien à l’état pur, l’esprit même, la quintessence de la musique.
Même dans les pays où, pour une raison ou une autre, les castrats chantaient moins ou ne chantaient pas du tout, le goût du soprano masculin était si fort qu’on inventa des solutions de rechange . Dans les églises luthériennes de Leipzig, pas de femmes ni de castrats : Bach destinait à des garçons soprani ou alti ses cantates, messes , oratorios. En Angleterre, la tradition des contre-ténors remontait au Moyen Age ; à Londres, pendant que des castrats paraissaient dans les opéras de Haendel, des contre-ténors interprétaient des oeuvres de Pucrcell. Cette tradition est restée si vivante que , faute de sopranistes châtrés, et les sopranistes naturels , comme le grec Aris Christofellis , étant rares, c’est à des contre-ténors souvent anglais, tels Alfred Deller, Paul Esswood ou James Bowman, qu’on recourt aujourd’hui pour rendre vie aux héros de Haendel, Hasse, Gluck, Mozart, ou des compositeurs injustement oubliés de l’école napolitaine, les Scarlatti, Jommell et Porpora. Notre époque a redécouvert le goût de l’ambiguïté et de l’androgynie : tout l’essor actuel de la musique baroque est lié à cette redécouverte et au talent des chanteurs capables de nous retransporter à cet âge d’or du bel canto."

Mj

http://citadelle-fr.com/relais_musical.htm

Quelle leçon, ma MJ ...
Je me coucherai un peu moins stupide ce soir... merci infiniment !

Puisque Mj a parlé des castrats, j'en profite pour vous recommander le très bon livre de Dominique Fernandez "Porporino" évoquant l'univers des castrats. Il est pas tout nouveau, m'enfin, comme il ne traite pas d'un sujet d'actualité brûlante, il est pas prêt de se démoder.

Mj a parlé des solutions de rechange dans les pays qui ne prisaient pas beaucoup les voix de castrat. Or il faut savoir que les hautes-contre se divisent en deux catégories : les hautes hautes et les hautes basses. Et en Angleterre, est né un type spécifique de contre-ténor, la haute basse. Alfred Deller, si merveilleux soit-il, ne représente donc pas le type du contre-ténor anglais qui correspond davantage à la voix de James Bowman, complètement envoûtant par ailleurs....
De nos jours, on manque sérieusement de hautes basses ; tous les contre-ténors veulent chanter en haute haute. Je me demande bien pourquoi. On a pourtant besoin des hautes basses, peut-être plus que des hautes hautes qu'on peut remplacer par des voix féminines d'alto. Je connais une ode de John Blow sur la mort de Purcell chantée par James Bowmann et René Jacobs, un duo de contre-ténor absolument magique. C'est pour moi un pur moment de bonheur.

Merci ma Mj d'avoir pensé à moi. Che faro senza Mj !
Cet air, je l'ai entendu déjà bien des fois. Mais pour moi, jamais personne ne le chantera comme Kathleen Ferrier. C'était un miracle cette femme-là, un alto unique au monde et je vous assure qu'on est pas prêt de revoir ça !

Alors, en relisant, (et réécoutant des oeuvres...) juste deux petites pistes, pour Haedel et Bach...

Haendel, vous connaissez tous au moins une de ses oeuvres aussi, utilisée dans la pub Levis, et surtout dans Barry Lyndon (avec de sublimes varaitions), c'est la Sarabande.

Bach, outre le prélude de Maurane, en réalité le prélude et la fugue n°1 en Do majeur, je crois,vous avez aussi la Toccata et Fugue en Ré mineur BWV 565 pour orgue, qui sert souvent pour Dracula (chais pas pourquoi) mais surtout pour ceux qui s'en souvienne, qui servait de générique au dessin animé "il était une fois l'homme"
Edit de rajout: en fait, c'est l'air jouer aussi par le Fantôme de l'opéra.
*en pleine phase classique.

*Au fait, est-ce que quelqu'un pourrait expliquer la différence justement entre baroque, classique et romantisme, et les musicien s'y rattachant , les dates.... ça m'éviterais de me mélanger les pinceaux... *

Kusanagi a écrit:

*Au fait, est-ce que quelqu'un pourrait expliquer la différence justement entre baroque, classique et romantisme, et les musicien s'y rattachant , les dates.... ça m'éviterais de me mélanger les pinceaux... *

Je ne m'y hasarderai pas trop ! parce que c'est comme en littérature ça varie d'un pays à l'autre et le romantisme est assez élastique. Ma bible elle-même est prudente; elle divise l'histoire de la musique en quelques grands chapitres repères , antiquité , moyen Age, Renaissance , art classique ou baroque pour les XVII et XVIII , romantisme pour le XIX et contemporain pour la suite . On parle je crois plus précisément d'écoles et de genres . Mais je ne suis pas experte !
Mj

Pour l'anecdote :DD :

Depuis que ce sujet est en activité et que certaines personnes en parlent si bien, j'ai eu envie d'écouter certains morceaux, que je n'ai pas, que je ne connais même pas, etc ... Je me suis donc promenée sur la mule, sans trop d'illégalité je pense, puisque je ne fais qu'écouter ces morceaux que je télécharge, sans les garder, et ... cela réserve bien des surprises ...

Certains jours en cherchant chez Mozart, on peut trouver le Canon de Pachelbel ou les Quatre Saisons de Vivaldi.
Le BWV 1068 dont on parlait ici, était une fois, une ouverture très "entreprenante" et une fois un air plus connu et répétifif (celui que je cherchais en fait, mais j'ai bien l'impression que c'est le premier trouvé qui est le bon ....). :
Et si on tape "Sonate au clair de lune" on en trouve de Beethoven, de Mozart et de Chopin, la palme revenant à une version que j'ai téléchargée sous Mozart, mais qui pendant la lecture indiquait Chopin ....

Alors amis mélomanes, il vous faudra encore bien de la patience, car comment voulez vous que les béotien(ne)s, même plein(e)s de bonne volonté s'y retrouvent un tant soit peu ???

Alors amis mélomanes, il vous faudra encore bien de la patience, car comment voulez vous que les béotien(ne)s, même plein(e)s de bonne volonté s'y retrouvent un tant soit peu ???

Là, il vaut mieux se reporter aux extraits que MJ à la gentillesse de nous faire partager sur le relais musical de la citadelle pour être sûr du bon morceau.

Et si on tape "Sonate au clair de lune" on en trouve de Beethoven, de Mozart et de Chopin, la palme revenant à une version que j'ai téléchargée sous Mozart, mais qui pendant la lecture indiquait Chopin ....

Beethoven doit se retourner dans sa tombe.
Non non, ni Chopin, ni Mozart!
La Sonate au clair de lune, fait partie des 32 sonates pour piano composés par Ludwig van B.
(attention à la mule)

Bon ben moi je me jette à l'eau!
C'est clair que, comme le souligne MJ, il doit y avoir quelques petites différences selon les uns et les autres, mais on a tous une bible sur laquelle on se réfère.
Je fais entièrement confiance à la mienne, sinon à quoi elle servirait. Mais en lisant les quelques lignes de MJ, je vois que nous sommes sur la même longueur d'ondes, et si erreurs il doit y avoir, elles doivent être minimes.
Alors pour t'aiguiller un peu Marina, (grosso modo), voilà ce que dit ma bible.

Les époques se divisent en 6 parties:

L'époque Médiévale, que l'on va situer à partir de 1100 jusqu'à 1400 environ.
Le tout premier nom à retenir est celui de Hildegarde (1098-1179) puisqu'il est l'un des tout premiers à être associé à la musique.
Supérieure d'un couvent allemand, cette femme remarquable était célèbre en son temps pour ses visions et son mysticisme. Parmi ces écrits figurent des poèmes lyriques qu'elle a elle-même mis en musique. La "Symphonia armonie celestium revelationum" se compose de 77 musiques destinées à accompagner ses poésies en fonction du calendrier religieux. Elle a aussi rédigé une pièce de théâtre, "Ordo virtutum", assortie d'environ 80 mélodies. Les enregistrements de ses oeuvres sont trés appréciés des mélomanes contemporains.
Trois autres noms ressortent pour cette époque : Léonin (1150-1201), Guillaume de Machaut (1300-1377) et Pérotin (1160-1220).

L'époque de la Renaissance, de 1400 à 1600 et des poussières.
Je ne vais pas mettre tout les noms que j'ai à portée de main, mais on peut retenir les noms de Guillaume Dufay et Josquin des Prés qui furent les premiers retenus pour cette époque. De 1500 à 1600, le choix et plus large. Nous pouvons retenir plus principalement Claudio Monteverdi (1567-1643). Ajoutons à celà, William Bird, Thomas Tallis, John Dowland, Roland de Lassus, Heinrich Schültz, Giovanni Pierluigi de Palestrina, Carlo Gesualdo.......et bien d'autres.

L'époque Baroque, que j'affectionne tout particulièrement avec l'époque du Romantisme.
On va donc situer le Baroque de 1600 et des poussières à 1750 environ. Les grands noms? Il y en a un wagon! Je vais pas tous les mettres hein!
Lully, Buxtehude, Pachelbel, Corelli, Purcell, Scarlatti, Albinoni, Vivaldi, Teleman, Rameau, Bach, Händel........................................................

L'époque Classique, de 1750 environ (même un peu avant) jusqu'au début des années 1800.
Vous voulez des noms? Je suis pas une balance!
Glück, Haydn, Boccherini, Salieri................mais surtout Mozart.

L'époque du Romantisme, fin 1700 à fin 1800 début 1900, qui se divise en deux parties (d'aprés ma bible). Début du Romantisme, avec des noms comme Beethoven, Rossini, Schubert, Donizetti, Berlioz, Mendelssohn, Chopin, Schuman et bien d'autres. Et puis, fin du Romantisme avec Liszt, Wagner, Verdi, Offenbach, Smetana, Bruckner, Johann Strauss II, Borodine, Brahms, Saint-Saëns, Bizet, Moussorgski, Dvorak, Tchaikovski, Grieg, Korsakov, etc, etc, etc...

Et enfin, l'époque Moderne, fin 1800 début 1900 à nos jours. (quand je dit fin 1800, on peut considérer à partir de 1870 à peu prés).
Là aussi, il y en a une ribambelle!
Je commencerai par Gabriel Fauré (1845-1924) et dont je vous conseille son morceau "Pavane" que vous pouvez écouter sur le site de MJ, c'est une pure merveille!!!
Nous avons aussi Sir Edward Elgar, Ralph Vaughan Williams, Puccini, Mahler, Debussy, Richard Strauss, Bernstein, Rachmaninov, Holst, Schonberg, Ravel, Bartok, Stravinski, Prokofiev, Britten, gershwin, Poulenc, Chostakovitch, Messiaen, et encore plein.
Bon, je dois dire que pour l'époque moderne, je suis un peu mitigé. J'aurai personnellement divisé cette période, comme ça a été fait pour le romantisme. Mais bon, c'est un avis tout à fait personnel.

Voilà Marina, j'espère que tu trouveras ton bonheur avec ces quelques lignes. J'ai fait ce que j'ai pu.
Il est clair qu'il manque énormément de compositeurs, vous comprenez bien que je ne peux pas les mettre tous. Merci de votre compréhension, vous êtes gentils.

J'interromps les discussions passionantes pour faire mon job de modo, et signaler que j'y connais trop peu pour pouvoir dire ou faire remarquer quoi que ce soit.

Vous pouvez attribuer les 4 saisons à Beethoven et me dire que Lully était musicien de la cour de Louis XV, je n'y verrai que du feu.

Ceci étant dit, ce topic peut reprendre son cours normal de discussions passionantes.

* trouve que le modo devrait se culturer au plus vite :tongue: *


* sort avant que quelqu'un n'entende ce qu'elle marmonne*

Bien que ce ne ce soit pas le lieu approprié, j'aimerais attirer l'attention de MJ sur Hildegarde de Bingen, une grande figure féminine du Moyen-Age et certainement une des toutes premières féministes (elle osait en ces temps reculés penser et prétendre que l'esprit d'une femme valait autant que celui d'un homme ...)

pour ceux que cela intéresse :
http://membres.multimania.fr/historel/moyenage/12e/hildegarde.html

Alors (vais réussir à le taper, ce message!!) déjà, merci Mj et Cin pour vos lumières, c'est juste ce dont j'avais besoin. Il faudrait d'ailleurs que je retrouve un de mes livrets FNAC sur la musique sacré. Quelques extraits de musiques médiévales me plairait bien.

Ensuite, pour le modo, c'est pas grave, Clive, tu t'instruit en même temps (là, ton rôle est juste de surveiller l'harmonie). Sinon, pour Sun, j'ai réparé mon erreur sur la suite BWV 1068 de Bach (que vous pouvez entendre chez Mj). En fait, il s'agit de la Toccata et Fugue n°565 de Bach, qui est souvent repris, pour orgue.

Question récupération, j'ai aussi quelques problèmes, car il me semble qu'on attribue à Haendel des airs que sur CD, j'ai comme simplement traditionnels... des airs souvent entendu à Noël, il s'agit du Gloria in excelsis Deo et du Benedicat Vobis... si certain aurait plus de précision dessus, ça m'aiderait dans le rangement de mes extraits.
(J'utilise bien la FNAC et Amazon pour trié, mais c'est long et parfois on fait chou-blanc)

sunny a écrit:

* trouve que le modo devrait se culturer au plus vite :tongue: *

*trouve que le modo devrait être viré au plus vite....*
(reste Clive je t'en supplie, des modos comme toi on en fait plus)

J'avais sur mon ordi deux oeuvres de Hildegarde de Bingen dont je voulais vous faire profiter, mais je les trouve pluuuuuuuuuus !!!!! (suis marqué, c'est pas possible) !

Quant à la messe de Guillaume de Machaut, je ne peux que la recommander vivement. Elle est suivie de motets que si on en avait des comme ça de nos jours dans les offices, je suis bien sûr que personne n'aurait perdu la foi ! Tout ceci est bien bien beau.

Pour le reste de ceux qu' a cité Mimi, je crois bien que je connais des oeuvres de tout le monde, sauf Williams, Holst et Schonberg (désolé)

Kusa, le Gloria in excelsis deo est de Jean Giroud 1910-1997.

Il a pas dû laisser un souvenir inoubliable vu qu'on connait pratiquement que ça de lui (mais qu'est-ce que c'est joli quand même !)

Pour le reste, sais pas.