Film d'horreur

AU SERVICE DE SATAN - 2005



l’Histoire : Douglas Wholly est un jeune garçon dingue de jeux vidéo. Le jour d’Halloween, il décide d’endosser le costume du héros de son jeu favori, le Satan’s Little Helper, dont le but consiste à aider Satan à reprendre le mal sur Terre. Alors qu’il collecte des friandises dans son quartier, il croise sur sa route un homme déguisé en Satan. Ravi de cette rencontre inespérée, le jeune Douglas va lui proposer ses services…

Ecrit et réalisé par Jeff Lieberman ("Blue Sunshine", "Remote Control"), celui-ci s’était absenté des écrans depuis presque vingt ans ! Là il revient avec ce petit film d’horreur teinté d’humour noir.
L’idée générale est pas mal. Le jeune Douglas complètement naïf est le principal témoin des agissements macabres de ce serial killer. Ca commence à partir du moment ou le jeune garçon voit cet homme déguisé en Satan (voir la jaquette) en train de traîner un corps près d’une maison, et bêtement Douglas croit à une mise en scène, un jeu d’Halloween, de suite il va voir ce psychopathe et lui demande s’il peut devenir son assistant comme dans son jeu vidéo. Le psycho accepte et c’est ainsi qu’il va pouvoir s’attaquer aux proches de Douglas, mais avant ça d’autres innocents vont aussi y passer... Les récoltes de bonbons vont prendre une autre tournure, le retour à la maison après les courses d’Halloween sera aussi agité (renverser des gens avec le caddie !), bref c’est fun !
La seconde partie du film devient un peu plus sérieuse lorsque le jeune garçon et les autres membres de la famille découvre qu'en réalité cet homme est Le serial killer, s’en suit alors entre autre le kidnapping de la mère qui va vivre une fête d’Halloween inoubliable … Et le final réussit à être malin et vicieux !

Côté scénario rien de bien original, mis à part son idée et l’humour noir. La mise en scène est par contre un défaut du film, le budget pas très énorme se fait ressentir, ça a par moment du mal à nous surprendre, ou a nous faire peur !
Mais d’un autre côté les acteurs sont pas mal, les petits effets gore sont présents et ce serial killer qui ne décroche aucune parole parvient à être inquiétant, s’il fait rire par son apparence, il est moins drôle quand il frappe .
En globalité le film se suit avec plaisir, l’ombre du culte Halloween : la nuit des masques y est présente !

Un inédit DVD sortit il y a quelques jours, une sélection officielle du Festival de Gerardmer 2006. Et ce film tombe pile poil pour une soirée d’Halloween

Aujourd'hui c'est un film dont mon père avait la VHS et que je redécouvre en DVD.


"The Blob", film réalisé par Chuck Russel en 1988 est un remake de "Danger Planétaire" de 1958.
Russel, on le connaît pour son délicieux "Freddy 3", ainsi que "The Mask" ou encore "l'Effaceur".
Au casting, Kevin Dillo ( "Poseidon", "Platoon"), Shawnee Smith ( "Saw" 1,2 et 3) et Donovan Leitch.


RESUME : Une météorite s'écrase sur la Terre. Un SDF la découvre et une sorte de gélatine le prend en mal : elle s'accroche à sa main. Amené à l'hôpital par un groupe de jeune, le SDF ne sait pas ce qu'il lui arrive. Cette chose a l'air de lui manger la main.
La gélatine est une substance qui se nourrit de la chair humaine et va prendre en chasse la ville. Son garde manger est là, une petite ville tranquille qui va subir un monstre grossissant à chaque repas.



C'est un remake dont je n'ai pas vu l'original. Cependant, ce film est un bon film d'horreur-épouvante que j'avais découvert il y a longtemps.
Tout commence tranquillement présentant les personnages, une fille convenable et son copain et bien sûr...le rebelle de la ville. Ces 3 jeunes vont se rencontrer par hasard jusqu'à ce qu'ils renversent le SDF.
L'histoire de cette forme gélatineuse commence à l'hôpital où chaque repas est conçu avec des effets spéciaux à l'ancienne.
Un bon film sympathique qui s'ajoute à la liste des films d'horreur de l'époque.

Le film est doté d'un humour macabre avec une particularité propre.
Le scénario ne va pas loin mais quand c'est bien fait et bien rythmé dans les scènes sans nous en mettre une tartine, ça marche !
La créature un peu spéciale, entre virus et monstre de l'espace, est assez rigolote même si elle ne laisse pas de miettes. Et disons que pour la tuer, c'est un peu spécial aussi.

Bon film d'horreur sympathique qui raviront les amateurs comme les autres.

Au fait, je n'avais pas fini la saga de "Masters of Horror".
Il restait l'épisode 13 intitulé "Imprint".

L'épisode est réalisé par Takashi Miike ( "Audition") avec un casting mince : Billy Drago. Un acteur assez connu qui a joué dans certaines séries et films d'horreur.
Cet épisode là, peu de personnes l'ont vu car très dérangeant, Showtime (chaîne américaine) et la pensée américaine bienveillante n'a pas voulu diffusé cet épisode. Jugé trop amoral. Takashi Miike a été censuré jusqu'au bout.


RESUME : Au Japon du XIXème S., un américain fait un passage sur une île où une maison close est installé. Las de son voyage et espérant retrouver un amour laissé derrière lui, il passe une nuit à la maison close en compagnie d'une jeune femme énigmatique. Cependant, le passé est, pour certains, signent de cauchemars.

L'épisode s'apparente à un "Audition" mais beaucoup plus poussé.
On suit cet américain un peu spécial dans une maison close très spéciale. La nuit va être emprunt d'une histoire racontée sur la vie de cettte jeune femme prostituée.
Histoire peu banale et horrible. Inquiétante et mystérieuse, cette jeune femme va parler de sa vie à un parfait inconnu.
La mise en scène est simple mais comme tous ses films, une lenteur mystérieuse s'installe jusqu'à des scènes un peu spéciales.
L'épisode s'ancre bien dans son style comme toujours et laisse perplexe quant à son idée première. On comprend pourquoi il a été interdit de diffusion. Takashi Miike s'attaque à la pensée bienveillante et aux principes de la religion.
J'ai vu l'épisode d'un autre oeil avec ses scènes à la fois choquante et à controverse. Mais c'est ce qui fait que c'est un bon épisode car il prend aux tripes !

Les scènes ne sont pas faîtes pour faire semblant, Takashi Miike se fait un plaisir de nous en faire voir de toutes les couleurs, pire que ce qu'il a fait auparavant.
Et il continue sur la lancée avec d'autres scènes que l'on ne soupçonnerait pas de sa part. L'épisode laisse un soupçon de fantastique un peu tiré par les cheveux. Mis à part cela, l'épisode est très bon.

Le dernier épisode de la saison 1 s'est révêlé très bon dans l'approche de la série même s'il a eu quelques déboires avec la chaîne productrice.

La scène de torture après le boulot, où je me suis levé à 3h du mat', j'ai eu dû mal à la digérer et en plus de cela, il rajoute des scènes de bébés insoutenables. Cet épisode, j'ai cru que j'allais mourir . Et en plus, il se terminait plus !
J'ai trop accroché sur cet épisode, je pense, comme celui de jenifer. Mais après tout, c'est fait pour.
Vivement la saison 2 !

SHOCK WAVES (Le commando des morts-vivants) - 1977



l'Histoire : Aux jours les plus sombres de la Seconde Guerre Mondiale, le haut gouvernement Nazi avaient chargé des scientifiques de créer un commando de morts vivants : Indestructibles, dépourvus de tous sentiments, ils devaient assurer la victoire du 3ème Reich. Aucun des membres de cette unité SS très spéciale n’a jamais été retrouvé.
Trente ans plus tard, des naufragés échouent sur l’île au large de la Floride. A l’endroit même où les zombies SS ont trouvé refuge à la fin de la guerre…

J’avais entendu parler de ce film dit "culte" que par rapport à sa petite histoire, sa polémique. Des Nazis dans un film d’horreur, des zombies SS qui s’attaqueront à des innocents… Bref nous sommes dans les années 70, le film n’est pas encore vu que ça commence à parler à tort et à travers… Et là aujourd’hui, DVD à la main, il est écrit sur la jaquette que "Shock Waves" a été longtemps considéré comme perdu ! Le négatif original aurait mystérieusement disparu. C’est grâce à un travail de restauration à partir d’une copie du réalisateur que ce film a bénéficié d’une seconde vie.
De toute évidence il veut être vu ce film !

Réalisé par Ken Wiederhorn et co-écrit avec John Harrison, ils mettent ici en boîte une petite série B horrifique avec comme thème principal : Les Zombies. Mais ceux-ci contournent les codes du genre, pas de gore ! Pas de scène de repas, les morts vivants ne sont pas lent et savent ce qu’ils font.
L’histoire se suit sans problème, on démarre par une petite croisière pour finir sur cette île habitée par un vivant : un ancien commandant Nazi dont le rôle est tenu par Peter Cushing ("L’île de la terreur", les "Dracula’s" de la Hammer), celui-ci leur conseil de partir, de quitté l’île. Mais hélas le commando SS semble déjà être en chemin, d’ailleurs depuis la mer ils ont commencé…

Il est évident que ce film n’est pas un chef d’œuvre, c’est plutôt une curiosité disparue des années 70 (ah les seventies !). Notre troupe de personnage sera bien sure réduite au strict minimum, une seule survivante (non, non ce n’est pas Koh Lanta ), nos zombies sont assez malins, se déplacent sous l’eau comme sur terre et garde leur démarche très 3è Reich.
Leur look reste assez convaincant : s’il en a dix, ils sont quasi identiques et leur maquillage est soigné.
Misant plus sur le suspense que tout le reste en matière du genre zombie, Ken Wiederhorn s’applique aussi sur la photographie (je pense à l’épave fantôme sur la mer visible depuis l’île), la musique signée Richard Einhorn y est aussi pour beaucoup.

Au casting en plus de Peter Cushing (qui n’est pas là très longtemps) on retrouve John Carradine et Brooke Adams ("L’invasion des profanateurs", "Dead Zone")
Avec cette histoire de zombie SS créer pour gagner la guerre, Shock Waves est considéré comme culte pour beaucoup de fans du genre. Pour ma part j’ai trouvé ce film moyen, avec un rythme assez lent, on en arrive à penser que dans ce film il ne se passe rien, voilà un défaut parmi ses qualités !
Pour les amateurs du genre, c’est à voir et (ou) comme moi à posséder histoire d’ajouter une pièce de plus à la collection

Moins de 18 ans is back !! Pour le genre :

Film concerné, le troisième volet de la saga Saw, le premier avait été une agréable surprise pour les amateurs, film indépendant vachement malin qui nous ouvraient la bouche de dix pieds de long à 2 min. de la fin !
Sa suite remettait le couvert, moins surprenant, un peu plus gore se voyait aussi interdit au moins de 16 ans justifié (on est pas là pour rigoler non plus )

Et là, apparait ce jour sur Allociné, la veille de la sortie du film :

"Saw 3" interdit aux moins de 18 ans !

Business - mardi 21 novembre 2006
Le film d'horreur Saw 3, en salles ce mercredi, sera interdit en France aux moins de 18 ans. Ainsi en a décidé aujourd'hui le ministère de la Culture.

Suivant l'avis de la Commission de classification des oeuvres cinématographiques, en dépit des protestations de certains professionnels. Après avoir visionné le long métrage, Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture, estime que "la violence et le sadisme incessant et insoutenable de scènes s'apparentant explicitement à des tortures physiques et morales justifient pleinement cette décision d'interdiction", précise le ministère dans un communiqué. Cette "interdiction du film aux moins de 18 ans n'interdit pas sa distribution dans les salles, mais nécessitera cependant lors de sa possible diffusion télévisée, un cryptage et un contrôle parental." Saw et Saw 2 avaient été interdits aux moins de 16 ans. La dernière interdiction aux moins de 18 ans en salles remonte à mars 2005 et au 9 Songs de Michael Winterbottom. Baise-Moi, Polissons et galipettes ou encore Ken Park avaient également connu ce sort par le passé. Le récent Shortbus, pourtant peu avare de scènes de sexe explicites, n'a en revanche été interdit qu'aux moins de 16 ans.

Défaite des organismes professionnels

Le ministère de la Culture a rendu sa décision après avoir été saisi par plusieurs organismes professionnels. Le syndicat français de la critique de cinéma avait protesté contre le fait que "pour la première fois depuis la promulgation du décret du 12 juillet 2001 réinstaurant l'interdiction aux moins de 18 ans (hors films X)", un film dépourvu de "scène de sexe explicite" se voie "menacé d'une telle interdiction." La Société des Réalisateurs de Films avait dénoncé un "retour en arrière regrettable, dans une société où la maturité dans le domaine de la culture de l'image est communément reconnue aux adolescents." Enfin, la Fédération nationale des distributeurs de films et le Syndicat français de la critique de cinéma craignaient notamment une "hausse générale du niveau de la censure." La Commission de classification des oeuvres cinématographiques, chapeautée par le Centre national de la cinématographie, avait rendu deux avis consécutifs recommandant une interdiction aux moins de 18 ans. Elle pointait une "succession ininterrompue de scènes de très grande violence et une accumulation d'images de torture gratuite qui peut perturber particulièrement les spectateurs."

Le communiqué du distributeur Metropolitan Filmexport

"Metropolitan Filmexport regrette vivement la décision du Ministre de la Culture et de La Communication qui interdit Saw 3 aux moins de 18 ans.

Le film avait reçu le soutien d'organisations professionnelles réunissant auteurs, producteurs, distributeurs et journalistes qui ont tous préconisé une interdiction aux moins de 16 ans conformément à la jurisprudence actuelle.

Le cinéma d'horreur repose sur une représentation irréaliste de la violence ce que les adolescents ont la maturité de comprendre et d'apprécier, comme l'a démontré le succès de Saw et Saw 2. C'est la première fois qu'une mesure d'une telle gravité est prise à l'encontre d'un film de genre.

Saw 3 sera donc l'unique film de l'histoire du cinéma à être interdit aux mineurs (exceptés les films X ou films comportant des scènes pornographiques). Le film de genre appartient au cinéma mondial, il risque d'être condamné en France.

Nous espérons que cette décision n'aboutira pas à restreindre très fortement la possibilité de distribuer en France les films de genre qu'ils soient étrangers ou français."

Concernant Saw 3 paraît-il qu'il est largement justifié de le mettre au moins de 18 ans.
D'après certaines critiques le film s'impose largement en visuel et sac à papier ! Au dela ce ça, le scénario reste derrière ce qu'il semble le point fort du film : la devanture extravagante de l'irregardable.
Enfin, d'après ce que j'ai lu le film est un gore psychologique d'où peut être l'intérêt de la France sur celui-ci.

Ne nous voilons pas la face, la France n'est pas à son premier essai indiscutable sur les films. D'autres y sont passés et y passeront !

Moi, de toute façon, j'ai pas vu le 1, le 2 et j'irais pas voir le 3, même à plus de 18 ans, ni même le 4, 5, 6 ou 12, d'ailleurs.
*En fait, j'ai jamais vu un seul film d'horreur... ah si, p'têt Christine, en cours, au lycée*

D'après Première, Saw III équivaut à regarder chez son boucher un roti pendant 1 heure et demie sur fond de hardcore métal.
Moi perso, les rôtis, j'les préfère au four sur fond de musique classique...

Kusanagi a écrit:

D'après Première, Saw III équivaut à regarder chez son boucher un roti pendant 1 heure et demie sur fond de hardcore métal.

PTDR ça c'est de l'expression ^^

mimi a écrit:

Kusanagi a écrit:

Moi perso, les rôtis, j'les préfère au four sur fond de musique classique...

Il te faut un bon Rossini dans ce cas là
C'est vraiment le cas de le dire

Tu sais, quoi, c'est exactement ce que je me disais...
un bon p'tit tournedos bien saignant
*oui, parce que je regarde pas de films gore, mais bon, la viande c'est cru ou bleue, chez moi...*

REEKER - 2005



l'Histoire : En route pour une rave party, un groupe d’étudiants américains est contraint de s’arrêter dans une ville déserte en bordure de l’autoroute. Ils sont vite dérangés par une puanteur abominable en même temps que surviennent d’étranges apparitions de corps atrocement mutilés. Avec pour seul guide un étudiant aveugle, ils vont tenter de survivre jusqu’au lever du soleil…

Ecrit et réalisé par Dave Payne (il compose aussi la musique soit dit en passant), "Reeker" a été pas mal apprécié du côté de la presse spécialisé et c’est également une sélection officielle du Festival de Gérardmer 2006… Bref ils aiment les bonnes séries B ricaine du genre, moi aussi d’ailleurs.
Pourtant en lisant le résumé ci-dessus, on s’attend déjà à du "vu et revu", à de l’hommage aux années 80 et à un manque grave d’originalité… Et bien je dois dire que Dave Payne s’en sort pas mal.

Ca démarre fort d’entré de jeu avec une bête type chevreuil percuté par une voiture en plein désert de l’Ouest Américain, s’en suit le résultat de l’accident, l’un des passagers réapparaissant avec la moitié de sa tête ! C’est clair ça part fort, le film à l’air d’être prometteur… Si le rythme du début est assez efficace, il en est moins pour la suite. Nous sommes donc en compagnie de cette bande d’étudiants qui se connaissent à peine, ils font du co-voiturage pour se rendre à la teuf, il tombe en panne en face d’un motel désert, situé en plein désert. Que faire, pas de réseau, pas d’essence et la nuit tombe : Solution, passer la nuit sur place mais ça va se gâter !
Durant ce cauchemar nos amis seront confrontés à une odeur horrible matérialisée à l’écran par de l’air trouble, l’odeur de la mort ! Certains croiseront des êtres pas très frais et bien flippant et pour enfin en arriver à l’apparition d’un tueur spectral : au menu une fille qui finira aspiré dans la cuvette d’un vieux WC d’extérieur à l’aide d’un outil bizarre, les autres en auront pour leur compte aussi, mais rassurez-vous, il y a du survivant…

Alors c’est bien plat et peu innovant tout ça hein, en fait Dave Payne reprend certaines recettes de ces dernières années comme le slasher, le survival, le fantastique, j’entends par-là les clichés : Jeepers Creepers, Identity, Destination Finale. Mais ce film reste assez plaisant, ce n’est pas une perle mais il semble s’assumer comme série B sans prétention, fun et gore.
Et bien que c’est une surprise : Je dois dire qu’à la fin il y a un twist final ! Mais qu’est-ce que c’est ? C’est tout simplement le petit truc qui va faire que le résultat aura un petit semblant d’originalité ou de peut être comblé le manque de rythme, pour ma part et même si c’est un temps soit peu trop insisté sur la chose, ce final n’est pas bête.

Au casting on retrouve Michael Ironside ("Total Recall", "Starship Troopers") qui est ici plus en guest, Derek Richardson ("Hostel"), Arielle Kebbel ("The Grudge 2"), Eric Mabius ("The Crow 3"), dans l’ensemble c’est correct, pas de tête à claque (c’est le plus important !)
Voilà pour Reeker qui sans être le meilleur film d’horreur de l’année parvient à attirer l’attention (la mienne déjà !), servit avec des effets spéciaux honnêtes cette série B moyenne offre aussi son lot de séquences de têtes d’affreux, de gore et parfois d’humour.