Film d'horreur

Moi j(aimerai bien revenir à propos du film Dagon dont a parlé JhonMcmyer
Réalisé par un des maîtres du fantastique Stuart Gordon (Re-animator, Fortress) et produit par Julio Fernàndez et une nouvelle fois Brian Yuzna, "Dagon" est une adaptation du roman de H.P Lovecraft.
Je n’est pas lu le roman, mais d’après ce que j’ai pu lire à droite à gauche, le film est une adaptation fidèle.


Ca me semble surprenant, pour le peu que j'en sais Dagon n'est qu'une toute 'tiote nouvelle de quelque pages se passant dans le Pacifique. Le film me semble plutôt un mélange de nouvelles de Lovecraft, et notamment du cauchemar d'Insmouth, avec quelque références (peut-être pas assez) à d'autre nouvelles comme l'usage de visage humain comme déguisement inspiré de Celui qui chuchotait dans les ténèbres.
Pour ce qui est de la fidélitéà l'univers du Maitre (puisque la fidélité au roman est hors de cause), je trouve que le film fait une erreur énooooooooooorme, c'est d'introduire l'amour et l'érotisme, une composante (c'que j'cause bien moi) toutalement absente de l'oeuvre de Lovecraft (et pour cause, le maitre et les femmes, hein).
Sinon, je suis d'accord pour dire que le film n'est pas mal du tout, au début j'étais sceptique puis j'ai appris à l'aimer.

ALICE – De Marcus Nispel (le réalisateur de "Massacre à la tronçonneuse 2003"), sortie indéterminée ?
Seule survivante du massacre de sa famille, Alice repart vers le Pays des Merveilles. Dans cet endroit devenu sombre et malfaisant, elle va devoir affronter ses propres démons...

Voici l’adaptation du jeu vidéo "trash" American McGee's Alice (jeu que je ne connais pas), avec dans le rôle d‘Alice une de mes chéries chouchous Sarah Michelle Gellar … J’ai un peu hâte de voit tout ça moi


Tiens, j'aime beaucoup cette idée de pervertir Alice au pays des merveilles, c'est pervers à souhait. Des idées comme ça, c'est moi qui devrait en avoir.
Sinon, ça veut pas dire que j'irai voir le film, le gore et moi, ça fait deux.

Tuor a écrit:

ALICE – De Marcus Nispel (le réalisateur de "Massacre à la tronçonneuse 2003"), sortie indéterminée ?
Seule survivante du massacre de sa famille, Alice repart vers le Pays des Merveilles. Dans cet endroit devenu sombre et malfaisant, elle va devoir affronter ses propres démons...

Voici l’adaptation du jeu vidéo "trash" American McGee's Alice (jeu que je ne connais pas), avec dans le rôle d‘Alice une de mes chéries chouchous Sarah Michelle Gellar … J’ai un peu hâte de voit tout ça moi


Tiens, j'aime beaucoup cette idée de pervertir Alice au pays des merveilles, c'est pervers à souhait. Des idées comme ça, c'est moi qui devrait en avoir.
Sinon, ça veut pas dire que j'irai voir le film, le gore et moi, ça fait deux.

American Mc Gee's Alice, le concept, c'est qu'Alice, après être sortie de son Eden (le Pays des merveilles) et eelle pète un câble, veut y retourner mais n'y arrive pas. Donc, elle devient anorexique, fait des tentatives de suicide et est placée en asile psychiatrique. Soudain, lors d'un incendie qui survient dans l'asile pour des raisons... inconnues, elle bascule et se retrouve dans le Pays des merveilles (son éden intérieur, je le rappelle), complètement perverti par ses pulsions morbides...

Je dois avouer que l'idée est géniale, un peu trash certes, mais que ça renouvelle le presque-mythe d'Alice... qui commençait à s'épuiser un peu jusqu'à ce qu'une boîte de fournisseurs d'accès à internet prenne son nom...

J'émets des réserves sur le film. Peut être sera t il génial, peut être sera t il nul à chier. Aucune idée.

Il y a peu, j'ai revu un film fantastique dont je ne me souvenais que très peu.
Adaptation du roman de Stephen King, "Simetierre" (Pet Sematary) est un film d'un bon niveau.
Je n'ai pas lu le livre donc ici pas de comparaison ni de polémique film/livre. Un avis sur le film en lui même.


"Simetierre" est un film réalisé par Mary Lambert en 1989 et se verra attribué une suite en 1992. Pour ceux qui ne connaissent pas Mary Lambert, elle a réalisé à l'heure actuelle "Urban Legend 3".
Pour "Simetierre", le casting se compose d'acteurs qui ont suivi leur carrière dans des séries, Fred Gwyne, Dale Midkiff et Denise Crosby.

RESUME : Le docteur Louis Creed, sa femme et ses deux enfants emménage dans une maison de la Nouvelle Angleterre. Près de chez eux, vit un homme qui connait des secrets sur des cimetieres pas loin.
La maison des Creed est situé non loin d'un cimetière d'animaux mais au dela de ce cimetière existe un autre lieu tout aussi inquiétant et avec un pouvoir dangereux.


Comme je le disais, ce film a refait surface dans ma mémoire parce que je n'en avais qu'un vague souvenir.
"Simetierre" est un film bien transcrit dans son approche épouvante d'horreur et diablement efficace. La réalisatrice a su amener un souffle léger de frissons et de malaise bien distinct.
Les phases d'animaux (pour le chat ressuscité) m'ont toujours écoeuré.
Le film traite d'un pouvoir sur la vie et la mort, et d'une envie d'immortalité pour autrui. La tension du film est bien dégagée, un début assez bizarre avec la présentation du cimetière des animaux, puis des questions surviennent sur les mystères autour de la maison pour arriver à une réponse franchement expliqué et mené jusqu'à son terme.
On ressent dans le film une certaine folie meutrière mais pas seulement dans la psychologie personnage, la réalisation s'y ressent aussi. Beaucoup d'alternance entre monde et solitude.

Cette mise en scène un peu macabre se ressent dans quelques scènes comme celle de la scène de la soeur malade proche du mort vivant ou encore celle des tueries revenantes. On pourrait voir un calque de la folie de "Shining", étrangement.
La fin, malgré qu'elle soit simple, a été efficace pour moi et je ne m'y attendais pas du tout ! M'étant focalisé sur autre chose pendant le film, j'ai été bien surpris à la fin. Et ça, c'est rare pour moi.

Les personnages pour celle de la famille est la plus dérangeante, je pense surtout pour celle de la petite fille qui se comporte dans certaines scènes assez curieusement. Ce comportement va donner un doute malsain.
Entre un père à la promesse facile et non tenue, un voisin qui connaît des secrets interdits, une mère qui cache un secret de famille, une fille au comportement bizarre, un petit garçon qui va être le rouage des secrets, et un chat mort vivant lunatique, le film a de quoi se conformer dans son style. Ajouté à cela, des lieux en adéquation avec, et vous tenez un film à suspens angoissant.


Le film apporte frissons, malaise, quelques effets gores, et un bon scénario qui ne va pas s'enquiquiner à exploiter inutilement.
Le film est simple dans sa réalisation mais bien tenu par son côté angoissant et quelquepeu bizarre.
Un bon film.

Pandora a écrit:

Ah... Simetierre... moi j'ai lu le bouquin *ça devait être mon premier King d'ailleurs... et j'ai longtemps regardé mon chat bizarrement après ma lecture ^^*
J'ai vu le film y a un certain temps, et j'ai plus vraiment de souvenirs précis... me rappelle juste que je l'avais trouvé pas mal, et plutôt bien adapté il me semble *même si il peut pas arriver à la cheville du malaise que fiche le livre*

Alors peut être faut-il que je le lise aussi ?
Comme ça, je m'en ferais une idée personnelle face au film.

Bon, j'ai eu l'épisode 7 de "Masters Of Horror" et j'ai donc visionné.


Cet épisode s'intitule "Deer Woman" réalisé par John Landis. Il a notamment réalisé (pour en savoir plus) "Le Loup Garou De Londres", "Le Flic De Beverly Hills 3", "Innocent Blood" et bien d'autres films. Ce réalisateur est en fait aussi scénariste, acteur, producteur. Le casting est toujours succinct et méconnu avec des acteurs de série notamment pour Brian Benben qui joue dans "Le Cartel".


RESUME : Une série de meurtres bizarres sont commis. Le détective Dwight Faraday voit cette affaire pas comme les autres. Il soupçonne une créature mythologique mi-humaine, mi-animale, en recherche de sexualité et qui finit par tuer.


Cette épisode n'a rien à voir avec les autres, ici du fantastique. John Landis revisite les mythologies à la Wendigo ou Loup-Garou mais sous une autre forme. On a affaire à une enquête policière sur fond de meurtre, ceci nous rappelle les épisodes "X-Files" de la première saison.
Le film débute sur une scène dans un bar avec des bruits bizarres au dehors puis annonce la couleur.
J'ai été pris sur le fait, à un moment clef du début, j'ai sursauté ! Il y a quelques scènes où l'on ne s'attend à rien d'extraordinaire et ça vous arrive en 2/3 mouvements en pleine face. Ce moment de sursaut m'a étonné, car étant rôdé sur ce genre de cinéma, je ne m'y attendais pas. Comme quoi !
L'enquête avance en même temps que les meurtres dévoilant au fur et à mesure des petits indices.
John Landis aime l'humour et ça se voit autant dans sa filmographie que dans cet épisode, quand le détective pense au tueur, se refait la scène du meurtre. Au début on comprend pas ce qui se passe mais après ça en devient un peu du n'importe quoi et on se marre.
La fin semble un chouilla trop rapide, pas assez perdurante dans la course poursuite.

En tout cas, c'est un assez bon épisode, plaisant, sans aller à l'extrême. Une mythologie, une bête, une enquête et le tour est joué !

Aujourd’hui je vais parler d’un film assez spécial, il appartient au genre horrifique mais aussi à la comédie… "Comiquement bien décalé", il s’agit de:

LA MAIN QUI TUE - 1999

l’Histoire: Au matin d’Halloween, Anton se réveille et découvre, après s’être écroulé avec entrain devant la télévision et avoir dévalisé le réfrigérateur, que ses parents ont été sauvagement assassinés. Flanqué de ses deux potes, Mick et Pnub, il va devoir se rendre à l’évidence: il pourrait bien être l’auteur de la vague de crimes atroces qui frappe les environs…

Réalisé par Rodman Flender, je crois bien que celui-ci doit être fan absolu des classiques de l’horreur avec des films comme Evil Dead, Zombie, Braindead… Et je dois dire qu’en voyant ce film, le Monsieur connaît très bien ces classiques !
Avant toutes choses, sachez que ce film est une pure comédie d’horreur dont je vais maintenant approfondir le résumé ci-dessus. Anton est un ado qui ne fout rien de ses journées à part squatter devant la télé et à fumer des joints avec ses deux potes, ses mains ne lui servent qu’à s’empiffrer, à fumer et à zapper avec la télécommande, c’est donc par-là que le diable décide d’agir en possédant une de ses mains fainéantes pour faire le mal. Après le meurtre de ses parents, se sont ses deux amis qui y passent. Mais plus tard ceux-ci reviendront d’entre les morts mais sans rancune ! Et avec tout ça il y a la très mignonne Molly qui semble être attirée par Anton… Que faire quand on ne contrôle plus sa main, Anton la coupe, mais rien à faire celle-ci s’échappe et continue ses meurtres. S’engage alors une course contre la montre pour stopper cette malédiction…

Alors il ne faut surtout pas regarder ce film au premier degrés, sinon la réponse sera comme je l’ai souvent entendu: c’est débile ! Il ne faut pas réfléchir non plus car l’histoire peut être tout et n’importe quoi. Mais la chose que l’on remarque c’est l’hommage aux films d’horreurs, les clins d’œil au classique de Romero avec les deux potes devenus zombies qui se matent à la télé Zombie. La main qui tue, cette idée vient d’Evil Dead 2 et le réalisateur réutilise avec classe celle-ci: Anton et sa main baladeuse, ça fait un duo hilarant ! Et bien entendu on pense aussi à la chose de La famille Adams, le couteau électrique faisant allusion au grand Massacre à la tronçonneuse… Beaucoup de clichés pour ce film et je dirais heureusement quand même, disons que ce sont eux qui parviennent à faire rester la plupart des spectateurs entre les dialogues parfois sans queue ni tête et à un humour qui est destiné aux teenagers élevés à American Pie, mais est-ce que cette génération y connaît quelque chose aux clichés traités ici ? Par contre cet humour complètement décalé est à 100% assumé, telle a été la volonté de Flender.
Au casting nous avons Devon Sawa ("Destination Finale") qui joue Anton, Seth Green ("Les hommes de main", "Buffy"), Elden Henson, Vivica Fox ("Kill Bill") et Jessica Alba ("Sin City", "Honey") qui interprète Molly… Un assez chouette casting !
Et en parlant de casting nous avons aussi droit à un groupe de zic en guest star, le groupe qui joue lors de la soirée d’Halloween j’ai bien nommé The Offspring à qui il arrive un drôle de tour au chanteur Dexter Holland: il se fait arracher la chevelure jusqu'au sang par la satanique main ! Sur ce, j’en arrive dont à ces quelques effets gore assez efficaces mais pas très méchants.

La main qui tue est donc un film qui se voit pas du tout au premier degrés, mais qui est vachement sympathique et idéal pour une soirée entre potes bien servie en boissons ! De plus les clichés du genre horrifique sont très bien recyclés, on passe un bon moment et c’est pour ça que je l’aime !

Episode 2 de "Masters of Horror" : Dreams in The Witch House
Ce deuxième épisode est réalisé par Stuart Gordon, le réalisateur de "Re-animator". Adaptation d'une nouvelle de H.P. Lovecraft comme a son habitude.
L'un des meilleurs de la série que j'ai vu, pour l'instant.

RESUME : Un jeune étudiant, Walter, en théorie physique, loue une chambre dans une maison un peu délabré. A peine installé, un des voisins le met en garde contre un rat à face humaine.
Pour Walter commence d'inexplicables choses liés à ses cauchemars. Il est en proie au doute sur le monde réel et sur celui de ses cauchemars où une sorcière apparait pour le manipuler.
Walter va découvrir beaucoup de choses sur celle-ci mais aussi sur son destin.


Stuart Gordon signe ici un très bel épisode d'horreur, de frissons, de singularité et de choses macabres.
La réalisation donne une bonne dose d'adrénaline du début à la fin employant les personnages à moitié dérangé ou bizarre.
La linéarité du scénario prend une ampleur considérable dans ce huit clos d'une maison encore plus bizarre voire la chambre.
Le début donne une petite secousse sur l'endroit où le jeune homme compte se reposer. La montée du suspens ne se tarit pas et reste même amplement suffisante jusqu'à la fin, qui soi dit en passant, est vraiment géniale.
Une fin d'une formidable intensité.

Les personnages, surtout le voisin d'en bas, renforcent le sentiment de bizarrerie. Les cauchemars sont assez soutenu par le personnage de la sorcière qui met tout en oeuvre pour prendre possession de l'étudiant.

Les effets gores sont tout aussi géniaux et assez macabres dans leurs fonctionnements. Stuart Gordon n'a pas peur de montrer et de choquer avec une acuité qu'il lui est propre et que l'on peut apercevoir dans ses autres films.


Un épisode sanglant, macabre et bien trouvé qui ne laissera pas indifférent pour la suite. Très bel épisode et le meilleur pour l'instant.

JohnCmyers a écrit:

Encore merci pour toutes ces infos, résumés et critiques de Masters of Horror Sangoku
Je suis vraiment très impatient de voir le résultat !

Tu ne vas pas être déçu !
C'est digne des Contes de la Crypte et autres films de contes macabres !

Episode 3 de Masters Of Horror : Dance Of The Dead.

A la réalisation de cet épisode, le fameux Tobe Hooper.
Au casting, on retrouvera Robert Englund alias Freddy dans un rôle qui lui va bien.


RESUME : Une jeune fille, Peggy, tient un Dinner avec sa mère. Des jeunes voyous, vont venir y manger, et semer un peu le désordre sauf un, Jak, qui va être sous le charme de Peggy. Par la suite, la jeune Peggy file en douce pour revoir ce Jak. Mais ces voyous ont quelque chose d'étrange et se réunissent dans un club pas très fréquentable. La jeune Peggy va être entraîné dans un déluge de débauche.



Bon, Tobe Hooper, on le connait pour son fameux "Massacre..." et pour son film "Poltergeist" (que j'avais bien aimé). Alors, pour cet épisode qu'en est-il ?
Ben, tout d'abord que la réalisation semble subtil par des effets percutants d'images et renoue un peu avec sa marque de fabrique du bon vieux temps, à savoir "Massacre...".
L'épisode commence sur une fête d'anniversaire, tout ce qu'il y a de banal et d'ordinaire sauf que...un gros nuage noir arrive et déverse une pluie acide. Là, tout le monde se fait brûler. La mère, sa fille Peggy et sa deuxième fille s'enferme dans la maison laissant les autres en proie à la pluie. Cette scène est très bizarre, car les effets qu'utilisent Hooper sont très remarquable plongeant dans l'ambiance du sournois et du psychédélique. en fait, il utilise des effets d'images troublent, un peu comme les rétroprojecteurs mal réglé. Ces effets s'alimentent de temps à autres en pleine action pour encore plus dérouter le spectateur.
La suite continue avec des scènes dont on ne comprend pas le sens ni le lien avec ce qui arrive. Des corps de personnes qui convulsent encore (comme des morts vivants) brûlés par des types dont ne sait où, un club où un Maître de Céremonie (Robert Englund) qui justement raconte des histoires et fait danser ces sortes de morts vivants, des virées dont Peggy se fait entraînés et où la drogue va bon train... Voila, quelques moments qui va vous laisser dubitatif face à l'histoire. Cependant, tout s'éclaire arrivé au Club où on voit l'intérêt de ces scènes.
L'épisode, je l'ai vécu comme un malaie face à la réalisation mais aussi comme un épisode inachevé et d'une simplicité complexe. D'ailleurs la fin semble un peu incohérente (sans raconter) car là c'est presque trop vu (même si cela surprend un peu) mais surtout il y a une petite pensée presque d'incohérence.

Robert Englund en Maître de Cérémonie et résolument sadique, donne au film un ton surprenant. C'est assez étonnant de voir qu'il puisse jouer un rôle vraiment décalé de ceux qu'ils jouent d'habitude.

J'en parle plus longuement que les autres parce que justement, je ne sais pas si celui-ci je dois l'aimer ou pas. Un avis mitigé voire pas d'avis du tout comme si j'attendais une suite de l'histoire qui puisse m'expliquer certaines choses. En gros, j'ai aimé la réalisation de malaise et suis resté sur une impression de "pas fini".