Les films catastrophes.

Voilà encore un genre de film auquel j'adhère, vu que je suis un gars qui aime les volcans, les tempêtes, les tornades, l'astronomie, tout ceci en amateur bien sure et je n'aime pas quand ces éléments cause des dégats matériels ou pire humain!
Mais visuellement ces éléments qu'apporte Dame Nature m'intéresse, et donc je vous propose ce topic sur ces films à la fois divertissant, spectaculaire, émouvant, triste et parfois réaliste!

Le premier à ouvrir le bal c'est:

DEEP IMPACT - 1997

l'Histoire: Une comète, découverte par un jeune et brillant étudiant menacent de s'écraser sur notre planète, au risque de détruire toute forme de vie. Le même type d'astéroide qui aurait mis fin au reigne des dinosaures. Les Etats-unis, ainsi que le reste du monde sont en état d'alerte maximum, et tous cherchent une solution à un problème d'une nature qui nous dépasse complètement. Lentement, la survie s'organise de deux côtés : on organise des moyens de survie en cas de collision dans des abris anti-atomiques sous-terrains, en misant sur un repeuplement de la planète suite au désastre, et de l'autre, on affrête un voyage spatial dont la mission est de déposer deux têtes nucléaires dans les astéroides, de sorte de les détruire de façon définitive... Le compte à rebours est lancé!

Réalisé par Mimi Leder, ce film est précurseur d’un genre de film catastrophe par anticipation, en fait on assistera jamais à la catastrophe si on ne regarde pas le film jusqu’à la fin, une façon de tenir le spectateur en haleine jusqu’au bout. Ce style peut s’avérer brillant ou décevant, chacun interprètera à son goût, si on s’attend à une fin chaotique, spectaculaire et qui montre assez de choses en destruction à cause du crash des météorites, non, le film s’appuie en grande partie sur l’histoire de plusieurs personnages, de leurs réactions face à une survie quasi impossible, d’une mission pour sauver l’humanité.
Pour prêter main forte à ce défi, à cette aventure humaine, des acteurs comme Morgan Freeman en président des Etats-Unis, Elijah Wood en brillant étudiant, Leelee Sobieski sa petite amie (je persiste à me dire qu’elle est la fille d’Helen Hunt), Robert Duval en pilote de vaisseau, Tea Leoni en journaliste et bien d’autres tout aussi bons… Car tous ces acteurs sont exceptionnels dans "Deep Impact", le casting révèle un grand talent, pour donner du rythme à une suite de séquences qui se lient selon un fil rouge parfois difficile à suivre et à déchiffrer.
Durant l’histoire du film il y a deux missions et ses deux missions sont les points de mire du film, durant lequel on prend conscience de l’importance de la vie humaine face à des évènements géologiques d'une telle ampleur. Cependant, on ne s'avoue pas vaincu, et on tente de tout les côtés de trouver une issue à ce qui paraît probablement la fin de la vie sur notre planète.
Avec une bonne mise en scène, un bon scénario et de bons effets spéciaux comme en témoigne la scène finale qui en est une parfaite illustration en terme de mise en scène, de réalisation technique: la scène de destruction arrive à la fin du film, celle que nous spectateurs attendons et c'est vraiment bien fait, l'engloutissement de New-York sous l'océan est une réussite, une vision horrifique de l'Atlantique, un tsunami qui décoiffe, ça relance l'intensité du film qui a tendance, comme dans toutes les productions, à s'essouffler vers la fin.

"Deep Impact" est pour moi un bon et beau film.
Un film drame catastrophe qui marque... Une Merveille Ignorée.

Je ne vais pas me répendre (il est tard) mais juste dire que si je n'avais qu'un seul film catastrophe à citer, et que j'aime vraiment, je choisirai deep impact, parceque je le trouve bien fait, bcp moins ridicule que ses équivalents, avec pleins de valeurs malgré tout, et tout simplement prenant, voilaaaa

Je trouve effectivement les acteurs vraiment sympa, surtout robert duval et morgan freeman, et je suis trop d'accord, la gamine elle ressemble trop à helen hunt

J'avoue ne plus suivre ce genre de films. Alors, merci à toi, John, de nous en parler. Le dernier que j'ai vu est Volcano me semble-t-il. Mais vu mon grand âge :wink: , j'ai bien connu la déferlante des films catastrophes des années 70, style La Tour Infernale, Avalanche, L'Aventure du Poseïdon etc ...
Aujourd'hui ça paraît bien démodé. Mais pour la sortie de La Tour Infernale, nombre de grands cinémas avaient été équipés d'un système qui s'appelait le Senssurround, si mes souvenirs sont bons, qui permettait de ressentir une sorte de vibration en même que les bruitages stéréo ... Nostalgie, nostalgie ...

Disons qu'en général, les films catastrophe posent moins de problèmes que d'autres. La destruction d'un monde ou d'une portion de monde comme dans volcano (qui est à chier d'ailleurs), ça ne dégége qu'une seule problématique : peut on sauver les gens? Et oui, car bien souvent voire toujours, il y a un joliii happy end, ce qui fait du film catastrophe un stéréotype assez juste du film type américain.

Je connais beaucoup de films post-apocalyptiques très, très bien, mais alors les films catastrophes... J'avais repéré le synopsis de Deep impact à sa sortie, il me paraissait moins con que les autres. Mais je ne suis pas allé le voir.

Pour les films post apo, je vous donne deux références ; Equilibrium et Wonderful Days. (j'ai quand même une préférence pour wonderful days)

Ah, Sunny, les films catastrophes des années 70 Surtout la Tour Infernale!! A croire qu'Hollywood avait décidé de se débarrasser (virtuellement, au moins) de toute ses vedettes .

Bon, j'ai pas vu énormément de films catastrophes version ciné... j'dois avouer que j'aime bien souvent la tonnes d'effets spéciaux mis en oeuvres pour simuler une catastrophe. Et surtout la notion du temps... vi, un tremblement terre, c'est maximum 3mn, et une nuée ardentes, à la vitesse à laquelle ça court... y'a intérêt à avoir un jet pour y échapper. Mais bon, c'est marrant....
C'est aussi assez courant aux US avec pleins de téléfilm qui débarque souvent sur la 6, là... et ou à force, y z'ont du détruire les 3/4 de l'MAérique... même à New-York, la terre tremble, c'est dire

Ben... les Daltons, c'était une catastrophe non?

* j'avais envie de dire ça faut pas m'en vouloir... *

Les films catastrophes ? Les films catastrophes !
Avec ces films, on s'en met plein les yeux pendant 20 min lors du démarrage de la catastrophe puis après calme plat, on compte les victimes et rebing, on remet une petite catastrophe avec solution à la clé.
Comme il a été dit ce sont des films au scénario récurrents seul l'élément change.
Après tout, c'est tout ce qu'on leur demande ! De l'action, de l'action, un happy-end américain qui montre que l'homme domine la nature par simple intelligence et adaptation. Formidable les humains !

Zelda a écrit:

Ben... les Daltons, c'était une catastrophe non?

* j'avais envie de dire ça faut pas m'en vouloir... *

Les 11 commandements c'est aussi une catastrophe !
Les Dents de la Mer 3 c'est le tsunami du cinéma !

Galathilion a écrit:

Zelda a écrit:

Ben... les Daltons, c'était une catastrophe non?

* j'avais envie de dire ça faut pas m'en vouloir... *

Les 11 commandements c'est aussi une catastrophe !
Les Dents de la Mer 3 c'est le tsunami du cinéma !

et n'oublions pas Tomb raider, qui est un véritable tremblement de terre...

Tu oublis aussi Tomb Raider 2 ! C'est pire qu'un seisme et un tsunami ce film !

VOLCANO - 1997

l’Histoire: Tremblements de terre, émeutes, violence… Les habitants de Los Angeles croyaient avoir tout vu… Pourtant, cette fois, le danger est encore plus gigantesque, incroyable, incontrôlable: un volcan a surgit au cœur de la ville et d’énormes coulées de lave détruisent tout sur leur passage. Mike Roark, le chef de la cellule de crise de L.A., aidé par la sismologue Amy Barnes, va alors engager une lutte acharnée pour sauver des vies et dompter le volcan…

Réalisé par Mike Jackson, Volcano est un film à l’intrigue à la fois réaliste et peu probable en matière scientifique : un volcan qui sort comme ça en pleine éruption au cœur de Los Angeles, c’est un peu gros là !
Dans la lignée des films du genre de fin années 90, il est aussi présent dans une liste de film de genre "Aventure", qui se rapprochent de ce que l'on faisait de mieux en terme de catastrophe dans les années 70. Ici, plongés au coeur d'une fournaise ardente et implacable que rien n'arrête, nous restons bouche bée devant un spectacle reconstitué avec efficacité, tant au niveau du scénario, que des effets spéciaux. L'histoire, qui se déroule sur une petite journée, nous tient en haleine du début à la fin.
Côté casting, Tommy Lee Jones, Anne Heche et entre autres Don Cheadle dans des rôles que j’attendais vraiment pas, les deux héros de cette grande aventure Tommy Lee Jones et Anne Heche donc, font vraiment bonne impression: du genre aventuriers, baroudeurs au grand cœur.
De plus, le choix de la ville et du centre ville comme lieu de l'action était un défi colossal à relever. Comment combiner effets spéciaux, maquettes et réalité pour faire croire aux spectateurs qu'une coulée de lave destructrice se déverse dans Los Angeles ? Autant on imagine aisément des films sur des éruptions volcaniques dans des villes situées autour ou à proximité d'une de ces montagnes de feu, comme Pompeï ou encore Dante's Peak, mais de là à faire jaillir le volcan vite fait bien fait au coeur même de la ville, une imagination qu’il fallait oser démontrer et, c’est vrai aussi qui nous rappelle temps en temps son invraisemblance. Mais le propos n'est pas là de jouer la vraisemblance, on s'en doute un peu... Pas de montagne, pas de colline, mais une rue étroite, sombre et plate, voilà les ingrédients pour cette éruption, l'immense coulée de lave qui traverse Los Angeles est une des séquences les plus surprenantes.

Bref, tout y est , le coeur et l'émotion, pour nous faire vivre une journée hors du commun, avec des relations entre êtres humains qu'on n'aurait jamais cru possible.
C'est de la catastrophe en chaîne qui ravi les amateurs de sensations fortes.

On en conviendra que Tommy Lee Jones reste dans ses rôles prédominant : le mec au carré qui a tout planifié.
Depuis Le Fugitif, ses rôles de grands responsables en donnent une ironie du métier et de son jeu.
Je ne sais plus dans quel film où Le Fugitif était parodié avec un mec qui avait les mimiques de Tommy Lee Jones et qui parlait comme lui dans le film. C'était trop fort, j'étais plié !