Mardi, j'ai enfin pu me procurer son deuxième album, 18, à la bibliothéque de ma ville.
18, c'est 18 chansons, un record pour l'artiste. Ca peut paraitre long, mais n'était-ce une fâcheuse interruption because pile de walkman (comme dans le texte de Thorgal...d'accord j'arrête) je l'aurai écouté d'une traite.
Dés le premier morceau, We are all made of stars, le grand Moby s'avére déjà un virtuose, jouant aussi bien des instruments éléctro que de la musicalité de la langue de Shakespeare. Ensuite vient In this world...raah, In this world, cete union parfaite des sons gospel et éléctro, c'est divin. Et puis In my heart...mais ça va pas 'arêter bordel !
Ensuite se succédent des moreceaux tous plus beau les uns que les autres, comme Harbour et ses chorus léger qui vienne completer la voix de miel de la chanteuse, Sleep alone, les morceaux de musiques pures comme Firework ou 18...ah, 18, fauit à tout pris écouter ce morceau, ça remplace aisement tout les rails du coke du monde (comment ça l'expérience parle ?).
Tout est serein, calme mais parfois majestueux, à la différence de l'énergie de son dernier single, Lift me up (mais j'attendrais d'avoir écouté son dernier album pour juger).
En tout cas, j'espére que le grand Moby continuera de nhous faire rêver comme il l'a fait avec cet album.