J'adore les critiques....

Nan, sans rire, les critiques de cinéma m'ont souvent fait rire.... surtout celles à prétention intellectuelles ou arty... des fois, j'me demande si ils comprennent ce qu'ils écrivent (parce que moi non, résultat, j'comprends pas si ils ont aimés le film ou pas, si il est bien tourné, si non, ... enfin bon, vu que je m'y fie pas). Sinon, je suis abonnée à Première et CinéLive (si, si, la pub est autorisé sur le blog ). déjà parce qu'en général je comprends ce qu'ils écrivent, et que j'aimle bien le style de ces deux journaux. Bref, pour rire un peu, voilà un condensé des critiques pour le film de Mann "Collateral" (pas vu encore).... y'en a certaine, franchement...(toujours grâce à Allocine :tongue: j'vous colore en bleu celle que je préfère... )

L'avis de la presse
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Positif - Philippe Rouyer

(...) Michael Mann nous invite à la rêverie en une suite de plans très courts, entre lyrisme et abstraction. (...) Suprême élégance, Mann -et c'est une première chez lui- manie dans les dialogues un humour qui désamorce le petit côté "donneur de leçons" qui guettait le projet. Peu importe si ce genre de répliques relève du marketing blockbuster. Elles participent ici d'un projet autrement ambitieux : capter l'intangible.

TéléCinéObs - François Forestier

Partant d'une situation peu crédible, Michael Mann réalise un film passionnant, un polar féroce. (...) Le suspense, l'affrontement final, les relations de peur, de haine et de fascination sont là, bien posées. (...) Tom Cruise est parfait en assassin glacial ; Jamie Foxx, en taxi velléitaire, est magnifique.

Aden - La rédaction

Collateral est le triomphe du système américain quand celui-ci est mis en oeuvre par des artistes (de la mise en scène à la photo, jusqu'au montage...) : le divertissement y est à son comble...

MCinéma.com - Hugo de Saint Phalle

Il suffit de quelques instants au réalisateur de Heat, Ali et Révélations pour capter notre attention, nous envoûter par la composition de ses plans et son ambiance nocturne et feutrée, pleine de couleurs, de reflets, de flous artistiques. La caméra est virtuose, le cadre typiquement " Mannien ", reconnaissable entre mille.

Le Parisien - Alain Grasset

Michael Mann prouve une nouvelle fois qu'il est aujourd'hui le maître du thriller américain.(...) Il y a du Jean-Pierre Melville, époque " le Samouraï " avec Delon, dans ce " Collateral ". En virtuose de la mise en scène, (...) Michael Mann nous tient en haleine durant deux heures.

Le Figaroscope - Marie-Noëlle Tranchant

Tom Cruise, impassible, tout en précision distante et en démence rationnelle, fait une de ses meilleures compositions dans ce thriller nocturne magistralement mis en scène par Michael Mann. Le cinéaste de Heat et de Révélations connaît tous les codes du genre, passe de la violence sèche à l'angoisse latente, du dialogue ironique à la poursuite haletante, avec un brio époustouflant et un humour noir de la meilleure veine. Du grand cinéma hollywoodien.

Le Figaro - Marie-Noelle Tranchant

Magistral (...) Michael Mann fait de cette rencontre un extraordinaire moment de bizarrerie, entre agressivité latente et humour explosif. (...) Le portrait est saisissant, et le thriller mené de main de maître.

aVoir-aLire.com - Romain Le Vern

Sans atteindre la densité et l'élégance de Heat, Collatéral tire le meilleur d'un scénario presque conventionnel qui a pour dessein de mettre en valeur tous les autres éléments du film. (...) Mise en scène puissante et confrontation d'acteurs exceptionnels pour un thriller crépusculaire et terrassant.

Télérama - Jacques Morice

(Pour) Le talent de Michael Mann n'est plus à démontrer. Il s'impose une fois encore comme l'un des meilleurs sinon le meilleur outre-Atlantique, celui qui apporte à chaque genre visité (film noir, biographie, film-dossier) une forme nouvelle de lyrisme mélancolique. Extrême précision du regard, alternance de plans courts et longs, confiance dans les acteurs : Collateral n'échappe pas à la règle et s'imposera comme un nouveau modèle.

Chronic'art.com - Vincent Malausa

Oeuvre modeste pour Mann, le film n'en demeure pas moins une démonstration reléguant la concurrence aux oubliettes en quelques plans. (...) l'un des deux ou trois films les plus impressionnants de l'année.

L'Express - Jean-Pierre Dufreigne

Los Angeles et Tom Cruise comme vous ne les avez jamais vus. Un grand polar.

Ciné Live - Philippe Paumier

Collateral est plus qu'un thriller grand luxe, c'est une ode paradoxalement envoûtante à cette nébuleuse désincarnée qu'est Los Angeles.

Studio Magazine - Patrick Fabre

La mise en scène de Michael Mann est tout simplement "mortelle". Même ceux qui trouvent les rebondissements du film trop prévisibles, ou pas assez crédibles, y succombent. (...) il nous offre un grand film sur la solitude, les rêves brisés et la droiture. Un film à hauteur d'homme.

L'Humanité - Vincent Ostria

Un buddy movie plutôt mouvementé et amusant (...) Certes, Michael Mann n'est pas un cinéaste très réaliste, mais son filmage incisif, dynamique, utilisant les gros plans, les longues focales, possède d'indéniables qualités documentaires.

Les Inrockuptibles - Patrice Blouin

A travers la relation qui s'établit entre le cynique contract killer et le gentil taxi driver (...), on devine d'ailleurs rapidement que les enjeux du film dépassent le simple cadre de la fiction. L'interrogation qui travaille Collateral est la même qui travaille nombre de productions américaines depuis le 11 septembre. (...) Mais Michael Mann ajoute une dimension plus personnelle et plus formelle.

Le Monde - Jean-François Rauger

(...) le nouvel opus de Mann prendrait presque l'allure d'une pause, d'un piédestal pour vedette, d'un pas de côté permettant à son auteur de se conformer aux exigences du divertissement pour Major Companies et public du samedi soir (...) Tout y est à la fois si fragile, si forcé, si invraisemblable et tout y est si miraculeusement évident que Collateral s'ouvre in fine sur des perspectives qui auraient sans doute été imperceptibles dans toute autre circonstance.

Cahiers du Cinéma - Vincent Malausa

Collateral impose un resserrement spatial et temporel, travail d'épure et de compression assez surprenant. (...) ni pic ni régression, simplement la fable tranquille, au style inimitable, d'un cinéaste en pleine force de l'âge.

Première - Gérard Delorme

Comme un loup qui retourne à sa tannière, Michael Mann retrouve son registre de prédilection avec ce polar nocturne hyperréaliste qui n'a peut-être pas l'envergure exceptionnelle de Heat, mais ressemble à l'équivalent "losangelésien" d'After Hours.

Elle - Elisabeth Quin

Voilà un film rutilant, monstrueusement efficace et fun, mais un peu idiot. (...) Michael Mann n'a certes pas cédé un pouce de son génie cinématographique, mais, aussi récréative que soit l'entreprise "Collateral", elle marque une nette régression dans l'oeuvre d'un réalisateur qui nous avait habitués à de complexes et déchirantes histoires d'hommes et de femmes adultes.

Libération - Stéphane Piatzszek et Olivier Seguret

Déceptif. Collateral, c'est l'Emmerdeur qui rencontre Terminator, le tout filmé sans aucun humour. (...) Cruise n'impressionne guère en tueur à gages très très méchant, rôle trop viril pour l'acteur post-adolescent qu'il ne cesse d'être. (eux, j'me demande si ils font pas exprès, juste pour pas être d'accord avec tout le monde, et faire style "on a de l'humour".... )

mon ex-femme est institutrice spécialisée... ce devait être en 1994-1995, quand l'un des fils du directeur de l'établissement où elle travaillait avait fait un court métrage, un exercice, un devoir pour ses études d'une école de cinéma ou tout autre machin audio-visuel... tout le personnel et une partie des élèves de l'IMP avait été invité à voir le film... on a demandé au personnel enseignant et aux éducateurs de bien vouloir écrire une critique pour le journal de l'établissement... mon ex-femme me demande donc de lui écrire la critique... j'y dis ouais d'ac, raconte un peu c'est quoi que c'est que t'as vu... elle me parle d'une porte qui s'ouvre, d'un homme qui s'approche d'un homme assis sur une chaise au milieu de la pièce, aprés je sais plus, ça durait 5 minutes... bref j'ai sorti n'importe quoi, essayé de parler de la symbolique du bidule... ça faisait 3 ou 4 lignes... et quand j'ai vu le journal et les commentaires (ouais, c'était plus des commentaires qu'autre chose, m'enfin c'est pas grave) des autres, je voyais que mon scribouillage passait trés bien...

ça confirme ce que je pense des critiques, là, c'que tu me raconte, Bruno... :wink: pis en plus, eux, ils sont payés pour ça!

Kusanagi a écrit:

ça confirme ce que je pense des critiques, là, c'que tu me raconte, Bruno... :wink: pis en plus, eux, ils sont payés pour ça!

C'est comme on a dit de Patrick Poivre d'Arvor qu'il ne lisait pas les livres dont il parlait, qu'au contraire il les faisait lire...

En ce qui concerne les critiques de cinéma, je pense aussi qu'il y en a parmi eux qui font leur boulot avec impartialité, d'autres ont peut-être un a-priori, d'autres coulent un film parce qu'ils peuvent pas blairer l'acteur, le réalisateur ou le producteur...
Et puis il y a l'avis de la foule qui joue également... le bouche à oreille...

Et les critiques gastronomiques... vont pas dire d'un plat succulent que c'est de la daube quand-même !
Ou d'un plat beuharkh c'est deg qu'il est bon...

on dit souvent qu'un critique de cinéma est un réalisateur frustré mais je pense quand meme que certains font pas trop mal leur boulot. au fait il y a quelques années forestier du nouvel obs faisait des critiques sur les nanars que passait canal+ en cinéma de quartier c'était vraiment très drole

Je me disais bien aussi que ce titre était décidément trop beau pour ne pas être ironique...

Non, mais franchement, ils ont le dos superlarge, les critiques : quand on est de leur avis on leur sait rarement gré, et quand on n'est pas de leur avis c'est tout juste si on n'a pas envie de les trépaner au démonte-pneu. Et je sais de quoi je parle : pendant plusieurs années j'ai été moi-même critique dans des fanzines, et c'est justement les lettres d'insultes parfois très violentes que certains de mes textes ont suscitées qui ont fait que j'ai craqué et que j'ai laissé tomber... Jusque dans mes premiers pas dans les forums ciné : vous rendez-vous compte que je me suis faite traîter de "grosse conne" parce que j'avais dit du mal d'Amélie Poulain (et de bien d'autres choses encore mais je vous épargne les mots d'oiseau les plus gratinés, hein!). Non, et puis, c'est décidément devenu une tarte à la crème récurrente de taper sur les Cahiers ou Positif parce qu'"on ne comprend rien à ce qu'ils racontent". Je ne suis pas très intelligente et certainement beaucoup moins cultivée que la plupart d'entre vous (enfin, me semble-t-il), et pourtant j'arrive à comprendre la plupart de leurs textes. Ah, ça, c'est pas aussi facile à lire que Première ou Ciné Live, c'est sûr! Mais franchement, leur reprocher une approche plus analytique, plus technique, plus intellectuelle effectivement, du cinéma, alors que je suis certaine que vous ne contesterez jamais cette approche à un critique littéraire, me semble démontrer une chose : c'est que vous ne semblez pas accepter le fait que l'on puisse voir le cinéma au-delà d'un simple divertissement, alors que c'est aussi, quoi que l'on en pense, une forme d'expression artistique. Bah, tout compte fait, grâce à vous, je me sens presque fière de m'être faite traîter de grosse conne, tiens...

Oui, j'aimerais bien savoir ça !
Ce que je me suis toujours demandé, c'est comment on pouvait se permettre de décortiquer un texte, en affirmant, pas en supposant, non, mais en affirmant que l'auteur a voulu dire ça ou ça en utilisant tel mot au lieu de tel expression, etc... Et s'il avait pas utilisé ça juste parce que ça sonnait bien ?[/quote]

Bon, je ne vais pas m'éterniser dessus parce que je ne veux pas non plus créer de polémique... Mais je pense quand même qu'entre le critique un minimum professionnel qui va interpréter (je ne parle pas de pondre des disgressions à tout va pour se la péter dans les salons branchouilles, je parle d'essayer de dégager, à travers le jeu sur le langage, sur la versification, sur le style, la narration, la caractérisation des personnages etc... la puissance poétique et la vision du monde qui prédomine dans une oeuvre) un livre, un poème, un film ou ce que vous voudrez, et un prof de français qui va gaver ses élèves en leur infligeant dès la deuxième lecture d'un texte, un chapelet entier de disgressions sorties de je-ne-sais où, en essayant de les convaincre qu'elle leur fait un cours de français, il y a une sacrée marge... enfin j'espère, quoi...

Je connais et corresponds depuis quelques temps déjà avec un poète américain... Pour avoir lu ses lettres, avoir compris en le lisant le travail que suscite toute forme de création littéraire (la poésie comme la prose), je trouve pour ma part qu'il est parfaitement légitime d'avoir ce type d'approche, de se plonger dans le texte, dans l'imaginaire de l'auteur, dans sa vision du monde puis de comprendre comment ses textes, sa thématique, sa poésie fonctione. Et c'est vrai aussi pour le cinéma. Je serai incapable d'être amoureuse de poésie et de cinéma comme je le suis et m'interdire cette approche. Maintenant si vous n'approuvez pas, je comprends... C'est dommage, mais je comprends.

oui, O-ren, mais dans ton cas, ton approche est aussi dû au fait que tu connais l'auteur, tu correspond avec lui.... c'est pas purement analytique.
Et un critique de cinéma qui est sincère ne me dérange pas (d'ailleurs, sur la liste, ils n'étaient pas tous en bleu....).

Ensuite, bien sûr que se plonger dans une ouevre en essayant de pénétrer l'esprit de l'auteur, en décortiquant son style est enrichissant (j'peux faire ça des heures sur Molière ). Mais c'est personnel... on peut le faire partager aux autres, c'est même plutôt sain, la confrontation (calme et raisonnée) des avis différents ne peut être qu'enrichissante (et de deux, mais bon j'aime bien ce mot! Na!)

Pis c'est pas une polémique que de confronter ses avis sur un forum (c'est fait pour ça) et, pour reprendre un truc dit plus haut: Si! tu est intelligente et cultivée!! non mais (déjà, si tu comprends certaines critiques tu l'es plus que moi.... ou tu fais plus d'effort... bon, ok, j'fais pas d'effort dans ces cas là, j'avoue )
Donc on peut continuer!!

J'allais souvent, trés souvent, au cinéma quand j'étais en Angleterre... j'ai vu de tout, du bien, du moins bien, du pas bien du tout... et d'agréables surprises... comme cette fois où je vois le titre (Fight in the street il me semble), je regarde à peine l'affiche... là-bas il n'y a pas de photos des films à l'extérieur du cinoche pour donner une idée (enfin je parle d'il y a 20 ans, je sais pas s'ils n'en mettent pas maintenant)... et qu'est-ce que j'ai vu ? Borsalino et Co en version anglaise... je me disais bien comme je regardais le début que ça me disait quelquechose...
Mes collègues de boulot (au Novotel de Bradford) me demandait souvent s'il y avait quelque chose de bien à voir comme film... je faisais pas une critique... enfin si, pas en profondeur quoi... je disais oui c'est bien, non c'est pas bien... ben c'était une critique, je disais ce qui m'avait plu et ce qui m'avait pas plu...
A Oxford j'étais membre d'un ciné club... j'ai vu Lolita, la version en noir et blanc... j'ai vu... je sais même plus ce que j'ai vu... ah oui, ce film... le mec il veut à tout prix séduire cette jeune femme et elle le fait languir... elle ne veut pas s'offrir facilement, elle lui dit sois patient... il se fatigue, la quitte, revient... il me semble qu'à la fin du film, aprés lui avoir dit terminé, j'en ai marre, et qu'elle part, il commence à lui courir aprés et c'est comme ça que ça finit... j'ai vu l'Empire des sens également... je suis sorti avant la fin... qu'est-ce que ça pouvait m'énerver ces étranglements... même qu'en sortant y a le placeur qui me dit c'est trop pour vous ? J'y ai dit que ça m'énervait...
J'ai vu... je mélange ciné club et ciné normal... La mélodie du bonheur, Apocalypse now, Y a t-il un pilote dans l'avion ?, Star Wars, Battlestar Galactica, Le bonlabrutéletruan, des films et dessins animés Disney (nouveaux et ce que je n'avais pu voir étant gamin)... et tout le reste... Jonathan Livingstone, je sais pas combien de fois... That's entertainment j'ai vu aussi... La panthère rose... en version originale c'est encore plus marrant parce que Peter Sellers parle avec un accent français... La vie de Bryan... quelques James Bond... Dracula avec Frank Langella... enfin tout ça quoi...

J'oublie... le dernier film que j'ai vu en Angleterre c'était Greystoke...
A moins que ce ne soit Rambo ?
C'était l'un des deux en tout cas...

Passez d'abord votre bac les filles ;-P
Et puis si c déjà fait finissez vos études!lol vous me raconterez???

Chaani a écrit:

pas de problème précis avec Londres, mais j'aimerais quand même passer par Cambridge.... et Oxford... bah de toute façon, quand on sera à Londres on ira faire du tourisme ! Cette année je vais faire un voyage en Irlande -->>>> BONHEUR !! ( et guiness)

Et Kilkenny!!!! Bon, la Guinness, c'est vrai que c'est kekchose... Mais la Kilkenny!!! Croyez-moi, vous m'en direz des nouvelles!!!!

Lyra a écrit:

Passez d'abord votre bac... Bon, j'espère qu'on va pas me dire ça trop souvent, mais comme je commence à me rapprocher de l'année du bac, ça va pas être évident...
De toute façon, je vais peut-être aller aux States avant de passer mon bac ! Alors... Mais je préfère quand même l'Angleterre ! Et non, je n'ai pas de problème spécial, ni avec Cambridge, ni avec Oxford !
Et puis, jusqu'à il y a deux minutes, pour moi, guiness, c'était juste le livre des records...

Arf! Qu'est-ce qu'on en apprend, des choses, sur les forums!!!! :wink:

Lyra a écrit:

Et puis, jusqu'à il y a deux minutes, pour moi, guiness, c'était juste le livre des records...
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Guiness c'est une institution... ah, ces beuveries accompagnées d'irlandisme... ces discussions... There's only one Ireland ! (peux pas transcrire l'accent malheureusement)...
Toujours debout ! Le premier sous la table a perdu... y avait jamais de perdant !