mon roman

J'avoue que là je suis un peu dans le flou pour suivre tes explications, Tuor ... (désolée, je suis parfois un peu à l'ouest )

Par contre, si tu avais envie de nous faire lire une page ... soit le début, soit un passage charnière, ça pourrait peut être nous donner une idée ...

Tuor et travaille bien !!!

Citation :

J'avoue que là je suis un peu dans le flou pour suivre tes explications, Tuor ... (désolée, je suis parfois un peu à l'ouest )

LMeuh non cher soleil, c'est moi qui suis aussi clair dans mes explications que ma ^prof d'histoire de l'art expliquant la fission de l'atome . Pour faire plus bref, retrnons simplement que je reste sur le chiffre de cinq romans pour le cycle de nouveau explorateur et que je renonce à remplacer le sixième que j'ai supprimé

Citation :

Par contre, si tu avais envie de nous faire lire une page ... soit le début, soit un passage charnière, ça pourrait peut être nous donner une idée ...

Oui, j'y songe trés sérieusement...je pourrais mettre l'intro au cycle, par exemple (faisons simple).

Citation :

Tuor et travaille bien !!!

Metci cher soleil.

Allez, zou, un "ptit" extrait, pour être précis, l'introduction au cycle, comme je l'avait promis:

A la fin du XXIème siècle, un jeune historien fit une découverte absolument stupéfiante qui des décennies plus tard devait révolutionner le monde des sciences historiques.
Il s’agissait de vieux journaux, documents d’archives remontant à prés d’un siècle, et qui contredisaient tout ce qu’on croyait savoir sur cette période. C’était simple, si l’on s’en tenait à ces documents, l’histoire des années 1990 semblait avoir été entièrement falsifiée.
Mais le plus ahurissant vint lorsque le jeune érudit vint exposer ses idées devant un assemblée de confrères. Il était en train de discourir en long, en large et en travers d’un Etat totalitaire qui se serait installé en France dans les années 1990, lorsqu’il se rendit compte qu’il y avait quelque chose d’anormal dans l’assemblée : tout les membres le regardait avec un sourire moqueur ou apitoyé. Enfin l’un des érudits s’adressa à lui et lança ces paroles stupéfiantes :
-Mais enfin, M Duval, ou voulez-vous en venir au juste ? Vous savez que la décennie 1990 n’a plus de secret pour nous.
M Duval tiqua. Il était évident qu’il avait mal entendu.
-Je vous demande pardon ?
-Voyons M Duval, reprenez-vous. Vous êtes un de nos plus brillant confrère et Dieu sait que je vous estime, mais vous êtes en train de…disons…perdre pied. Vous nous discourez depuis tout à l’heure sur le second mandat du président François Mitterrand, en exhibant des documents d’archives que tout étudiant en histoire de première année a lu et relu… »
Le jeune historien n’écouta pas la suite du discours. Abasourdi, il dut avoir l’air stupide car toute l’assistance explosa d’un rire énorme.
M Duval se sentit humilié et surtout affolé. Etait-il fou ? Fou au point non seulement de déformer radicalement ce qu’il lisait, mais aussi de dire autre chose que ce qu’il pensait dire, de perler du second mandat de M Mitterrand au lieu de parler de sa prétendue dictature ?
Mais un signe vint bientôt convaincre M Duval du contraire, le convaincre que ce n’était pas lui qui avait perdu la raison. Parmi l’assistance en train d’étouffer de rire, au dernier rang, un professeur d’une quarantaine d’année regarda l’auteur de l’exposé droit dans les yeux et avec gravité, et hocha la tête d’un geste sui signifiait clairement « je vous comprend ».
Le jeune professeur devint la risée de l’université, aussi bien parmi des confrères que parmi les étudiants. Mais il ne se laissa pas démonter. Dés le lendemain de la fameuse conférence, il revit le professeur qui lui avait manifesté de la compréhension, et tout deux devaient aller de surprise en surprise.
Les fameux documents d’archives leurs parurent à tout deux –il ne pouvait donc s’agir d’une hallucination, à moins de supposer que deux personnes puissent voir le même délire, lire le même article imaginaire à la virgule prés- lourds d’un sens révolutionnaire, mais tout ceux qu’ils interrogèrent sur ces articles, ne serait-ce que pour leur demander de lire le titre, n’y virent rien de ce que les deux chercheurs lisaient. Qu’il s’agit d’un article du Times –journal qui avait cessé depuis longtemps d’émettre de nouveau tirages- traitant de l’instauration d’une dictature, la personne interrogée n’y voyait qu’un article sur l’élection d’une majorité de droite à l’Assemblée de la Vème et avant-dernière République. Personne ne lisait tout à fait la même chose au mot près, mais lors des entretiens de groupe personne ne semblait y prêter attention. Des dialogues de sourds se tenaient, où chacun semblait entendre l’autre dire ce que lui-même voulait entendre.
C’était ahurissant. Il semblait que toutes ces personnes avaient été conditionnées.
L’Histoire avait bel et bien été falsifiée, mais comme aucun Etat n’aurait pu le faire. Un morceau important du passé avait été littéralement effacé des mémoires, et l’Humanité conditionnée pour le plus jamais le retrouver. Mais quelle puissance incommensurable pouvait accomplir une telle tâche ?
Autour des deux savants, se constitua bientôt une confrérie secrète qui s’élargit progressivement tout en tentant d’établir la lumière que ce qui était sans doute l’une des plus prodigieuse affaire de toute l’histoire de l’humanité. Alors que la Troisième Guerre Mondiale approchait à grand pas, ils découvrirent qu’à travers l’initiative d’explorateurs prodiges, l’Humanité était un jour entré en contact avec d’autre civilisations, non extra-terrestres mais bel et bien terriennes. Mais leurs découvertes, loin d’enrichir l’Humanité, avaient été détournées par des idéologies totalitaires qui s’en servirent pour s’implanter.
Au cours des siècles suivants, même alors que les plus grandes civilisations du monde sombraient dans la barbarie, la Confrérie poursuivit ses travaux et alla de surprise en surprise, découvrant sur les « Nouveaux explorateurs » des choses qu(elles n’auraient jamais imaginé. Ilm apparut vite que le grand public n’avait jamais eu qu’une très vague idée de ce qu’étaient exactement ces civilisations nouvelles, et n’entendirent longtemps que les légendes propagées par les partis totalitaires.
La Confrérie poursuivit sa tâche, en sachant qu’un jour, lorsque les civilisations émergeraient du chaos et lorsque l’humanité retrouverait la mémoire, alors ….

Voilà, c'est sur cette note de smystre que s'achéve l'introduction pour lasser place aux aventures elles-même des Nouveaux explorateurs.

Citation :

Yeah ! ça donne envie de découvrir la suite ! Cela dit, pas vraiment une critique mais plus une remarque, j'ai l'impression que ça va un peu vite sur la recontre et la constitution de la Confrérie. Mais peut-être que tu détailles ça un peu plus tard?

Oui c'est vrai que ca va un peu vite, mais en même temps c'est qu'une intro, pas le roman lui-même, et cexu du cycle sont plus axés sur l'histoire des explorateurs dans les années 90 que celle de la confrérei dans le futur...mais c'est vrai que je pourrais déveloper, soit dans l'intro elle-même, soit (ce qui est fort probable) dans le roman, puisque le prmier traite du voyage dans le futur, soit (ce qui esr encore plus probable) en faisant un mix des deux.
Sinon, merci pour ton avis, c'etait très constructif !

Ben oui , Tuor comme Pandora , j'attends la suite !

Citation :

Ben oui , Tuor comme Pandora , j'attends la suite

Bah la suite c'est pas pour tout de suite, faut que je finisse lme roman d'adord (ce qui va necessiter UN PEU de trmps quand même).
Sinon, metons les choses au point, la confrérie (je pourrais juste rajouter quelques phrases dans l'intro pour dtailler un peu comment se construit elle se construit) n'est absoument pas au centre du cycle, qui decrit excluisvement les aventures des nouveaux explorateurs (en même temps est expliqué le grand oubli...avec des élements de réponse dés le deuxioèmpe roman, ne vous inquiétez). C'est come quand on ecris un roman sur christophe colomb et qu'on fait parler dans une intruduction un biographe ultetrieur...peu importe ensuite qu'on nous detaile la demarche quasi-scientifique de ce biographe.
A un detail prés cependant: dans le rpmier roman les Christophe Colomb de la fin du siècle dernier voyagent dans le temps et surtout dans le futur, ce qui leur permet de rencontrer les historiens qui vont se pencher sur eux. Mais cette rencotre ne sera pas non plus centrale. Neamoins, il ne s'agit pas non plus d'une simple amusette de ma part, mais d'un élements d'une grande profaondeur dramatique, puisqu'il s'agit de la traduction en SF d'un motif mythologqie vieux comme le monde, le héros à qui une puissance supérieure apprend son funeste destin (du genre Achille ou l'Alexandre le Grand du roman médieval).
ceci dit, j'arrête de vous prendre le chou avec tout ça, et gros popo à tous !

Je lirai tout le sujet plus tard... pas possible, là.

Gros popo d'encouragement, Tuor !!!

En effet, ça va un peu vite à mon goût, mais ça permet de donner pied à ton univers... C'est une intro qui se tient (mais j'espère qu'elle tiendra également la suite...)

Tiens, je vous tiens au courant des dernières evolution de mon projet de cycle. Pour cela, je vous donne le lien d'un forum ou je l'ai présenté récemment:

http://www.dark-refuge.com/forum/viewtopic.php?t=11971

Vi, j'suis assez d'accord avec ce qui a été dit sur le forum, même si ça a été fait avec moins de tact que moi (et pourtant, j'en ai peu, ça se sait) et très peu d'humilité, ce qui rend les messages incriminés assez insupportables d'ailleurs.

Mais courage, n'abandonne pas !

J'ai jeté un coup d'oeil... Je sais pas si mon conseil est de bon aloi, mais écris ce qu'il te plaît, et retouche ensuite si t'as envie de retoucher !

Ca y est, j'ai officiellement commencé le projet de moindre envergure (enfin, tout est relatif) sur lequel aiguiser ma plume avant d'attaquer le gros morceau.
Il s'agit d'un cycle d'une petite dizaine de novella de fantasy bâti autour d'un heros recurrent, Ronwald. L'idée originale de ce cycle, c'est qu'il ne se deroule ni dans un monde completyement mythique, ni dans un temps historique, mais dans un monde pseudo-historique completement deformé par la legende, en l'occrurence une Gaule romaine qui ressemble plus au Moyen-age.

J'ai lu récemment sur le blog d'un écrivain à pseudonyme qu'il valait mieux écrire tout son saoul pour retoucher ensuite, même si l'inspiration n'était pas au rendez vous.

De toute façon c'est en forgeant qu'on devient... fort (je vous ai bien eus), donc muscle toi un peu, et ponds de la page, c'est le mieux que je te souhaite si tu veux écrire un roman.