Une histoire à plusieurs mains....

La pluie tombait sur la grande esplanade, le ciel était sombre et pourtant les citoyens de l'Ile traversaient d'un pas lent l'immense pont, comme insensibles à la pluie battante.
Meliandra jeta un coup d'oeil à Sandro, qui n'avait pas bougé, lui non plus. Appuyé sur le garde-fou en face de lui, il regardait d'un air las la lagune et le ciel sombre derrière elle. Il tourna négligemment la tête comme s'il allait se gratter le cou, et vit Giacomo le Balafré s'avancer sur le pont, sans escorte. Il abaissa son capuchon afin d'avoir un angle de vue meilleur. Les gardes étaient loin. Il sortit un poignard recourbé de sa ceinture et commenca à courir.

(Ca vous va, ou vous voulez autre chose comme début?)

Tout à fait, je m'en occupe, même si j'suis pas tout le temps sur Citadelle !

Prochain : --- ?


PS : regardez bien ce message, je l'actualiserai à chaque fois qu'il y aura suite !

Les gardes étaient loin. Il sortit un poignard recourbé de sa ceinture et commenca à courir.

Tuer le Giacomo, tuer Giacomo, ne cessait-il pas de se répéter, je veux la peau de cette vermine.
Meliandra comprit sur le champs, elle se mit à courir elle aussi, ce n'est qu'une fois arrivée à sa hauteur qu'elle hurla de toute ses forces :
- Non, arrête, c'est ce qu'il attend !
- Alors sa demande va être exaucé.
Meliandra le stoppa net dans sa course.
- Si tu le tue nous ne pourrons plus nous aimer, les gardes se saisiront de toi sans ménagement. Pour eux le mot vengeance ne veut rien dire comprend-tu ? Laisse-le partir nous aurons d'autres occasions en d'autres lieux, je t'en supplie, écoute-moi.
- Je ne peux pas marmonna Sandro les dents serrées.
Meliandra se retourna alors vers Pablo qui venait de les rejoindre.
- Toi tu peux lui dire d'arrêter cette folie, parle-lui Pablo.
- Carrogna qu'est-cé qué tou espére ? Rendré joustice tois-même ? Rentre moi cé couteau et retournons à l'auberge. Il y a un peu trop dé soldats il mé semble. Nous allons finir par attirer leur attention…


J'espère que ça va car je n'arrive pas trop à situer l'époque ni le monde dans lequel ton personnage évolue.

Bon, je vais donc essayer de poursuivre (et faudra penser à commencer à préparer le liste d'avance).

A contrecoeur, Sandro finit par obéir. Avec lenteur, il rangea son poignard dans sa ceinture. Aussitôt Mélindra le prit discretement par la main, et les trois ami se dirigérent vers l'auberge. Sandro ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil haineux vers Giacomo. Giacomo et sa blessure de guerre. Sandro ne connairai jamais les honneurs militaire comme son demi-frère.
Pendant le trajet, par les rues de Turin, jusqu'à l'auberge, sandro se souvint...

L'histoire remontait à vingt-quatre ans de cela. Le pére de Giacomo et plus tard de Sandro était alors un haut fonctionnaire au service de l'Empereur allemand. Giacomo et sandro avait le même père, mais pas la même mère. Le premier crime de Sandro, c'était d'être né enfant adultérin.
Tout petit il avait du subir le rejet de ses camarades et l'humiliation de n'êtr pas reconnu par sa famille ni par l'Empire, à vivre dans l'indigence quand son demi-frère se vautrait dans le luxe et était appelé à sucéder à son père.
Tout avait justement pris un tour dramatique lorsque, aprés la mort du pére, la mère de Sandro avait décidé de réclamer une aide financière à sa famille et notamment à Giacomo. l'affaire fit un beau scandale. Le nom d'une des plus importantes famille de Turin risquait d'être trainé dans la boue.
La phtisie, avait dit les médecins au chevet de la mère malade de Sandro. Mais rien ne pouvait le tromper...

Voilà, j'espére que ça vous va comme ça.

Citation :

PS : Pyth', help me, je peux pas éditer leurs messages pour corriger les phottes!

*Euh, comment y m'cause celui-là...* Bon, problème réglé, gamin! Vas-y défoule-toi...

Merci ô grande pythie ! L'impertinent gamin vient de faire son taf, va nettoyer le topic et répondre aux questions.

Euh, Svalmandre, les noms des personnages n'étaient pas hispaniques comme (je pense) tu le pensais (à cause du Pablo et de l'accent) mais je les voyais plutôt comme italiens (Sandro >>> Alessandro) et pour ce qui est du monde... venise non, puisque les ponts ne sont pas grands mais je voulais quelque chose qui puisse être soit HF soit historique... mais on est plutôt parti dans l'historique, remarque on peu toujours insérer du fantastique et du merveilleux dans l'histoire...

Kusa, tu prends la suite?

Euh, c'est pas parce que Tuor nous a balancé à Turin que j'dois suivre (pis j'aime pas Turin... j'aime pas Milan non plus.... moi, j'aurais bien vu ça à Florence, ça me faisait penser à Lorenzaccio... ou Milan, sous Ludovico il Moro, bref... Turin sous l'Empire, ça risque pas... *Turin n'a jamais appartenu à l'Empire, c'est la capitale des Savoie!! Bouhou!! Il me dépossède du peu d'histoire indépendante qu'on a!!!! *

*Pis j'ai jamais dit que je participais, je suis désolée, j'ai trop d'histoires en cours là, mon imagination surchauffe....* :ohayo:

Turin capitale de Savoie ? Ca serait pas plutôt du Piémont ?
Ok je sors...

Clive White a écrit:

Turin capitale de Savoie ? Ca serait pas plutôt du Piémont ?
Ok je sors...

Si, si, c'est bien du Piémont... mais en fait, j'ai fait un raccourci dans ma phrase donc:
*minute histoire*
La capitale historique des Duc de Savoie, c'est Chambery. Or, ceux-ci ont, au cours du 18ème, 19ème siècle, agrandi leur duché en royaume, devenant aussi roi des 2 Sardaigne, et captant ainsi le Piémont italien. Ils ont donc fait de Turin leur capitale "provisoire" en attendant de réunifier l'Italie sous leur Maison. Donc, Turin était la capitale des Savoie avant Rome."
*minute historique finie*
C'est plus clair comme ça?

Loeayn, je te remercie pour ces informations. Effectivement le post suivant m'a permis de situer l'histoire. Bon , j'avoue sincèrement ne pas trop aimer ce style, mais je vais continuer de vous lire afin de voir comment l'écriture évolue. En tout cas bravo, c'est bien partit !

Euuuuh oui oui c'est plus clair !
Mais quelle culture ! J'ai l'air de quoi moi à côté ?

Clive White a écrit:

Euuuuh oui oui c'est plus clair !
Mais quelle culture ! J'ai l'air de quoi moi à côté ?

De queqlqu'un de bien, j'te rassure!! C'est pas de la culture, pour moi, c'est du boulot....