le dernier samourai

Nanou a écrit:

je crois que c'est "maek-chu"...

Et ça s'prononce comment ?

Dis donc, Pititange... Il ne faut pas abuser de la naïveté des adultes ! Ton petit frère ne t'a pas appris ça ??? [/quote]

ce qui me sert de petit frère,Az',ne m'apprend rien du tout,il me pousse à bout plutôt

Tu pourras avoir la bière dont tu as envie, ma petitange. pas de problème.
On a une cave spéciale bière au poney, mais attention il ne faut pas abuser. Sinon tu ne seras plus capable de faire tes pompes.
Enfin, quoique, je me rappelle encore le conseil de mon chef à l'armée:
tu cours le matin, tu bois la bière le soir, t'es jamais malade. J'ai testé pendant neuf mois, ben faut croire que çà marche.

despé pas de problème; Il y en a plein au poney. C'est une des bières préférées du patron (moi, je suis encore jeune ).

Mon service, je l'ai fait à vingt ans, et çà m'a bien gaché une année de ma vie. Mais bon, j'ai eu une médaille. Elle doit prendre la poussière quelque part

Juste un petit mot sur " Le dernier samouraï ", je l'avais vu lors de sa sortie au ciné, j'avais beaucoup apprécié ce film car il correspond au mot divertissement que peut donner le cinéma. Quand les lumières se sont éteintes et que le film à commencé je suis partie dans un autre monde, mais c'est cela la magie du cinéma.
Récemment j'ai visionné en dvd "Zatoïchi" qui est différent bien que l'histoire ce passe au Japon du XIX siècle, c'est moins hollywoodien, le film est à la fois nerveux, lent, il y a pas mal d'humour d'ailleurs la scène finale > je l'ai trouvé complètement "déjantée".
J'ai passé un excellent moment. Je vous donne le résumé vite fait au cas ou certain ne connaitrait pas:

Zatoichi est un voyageur aveugle gagnant sa vie comme joueur, masseur, c'est un redoutable combattant, rapide comme l'éclair et dont les coups s'avèrent d'1 stupéfiante précision. Il découvre une ville sous la coupe d'1 gang dont le chef est Ginzo qui a engagé un redoutable
samouraï, dès que ces hommes croisent zatoichi l'affrontement est inévitable et sa légendaire canne épée entre en action.

Voilà j'ai copié ce résumé que j'ai un peu écourté mais c'était pour donner un aperçu

MANOUETTE11 a écrit:

Juste un petit mot sur " Le dernier samouraï ", je l'avais vu lors de sa sortie au ciné, j'avais beaucoup apprécié ce film car il correspond au mot divertissement que peut donner le cinéma. Quand les lumières se sont éteintes et que le film à commencé je suis partie dans un autre monde, mais c'est cela la magie du cinéma.
Récemment j'ai visionné en dvd "Zatoïchi" qui est différent bien que l'histoire ce passe au Japon du XIX siècle, c'est moins hollywoodien, le film est à la fois nerveux, lent, il y a pas mal d'humour d'ailleurs la scène finale > je l'ai trouvé complètement "déjantée".
J'ai passé un excellent moment. Je vous donne le résumé vite fait au cas ou certain ne connaitrait pas:

Zatoichi est un voyageur aveugle gagnant sa vie comme joueur, masseur, c'est un redoutable combattant, rapide comme l'éclair et dont les coups s'avèrent d'1 stupéfiante précision. Il découvre une ville sous la coupe d'1 gang dont le chef est Ginzo qui a engagé un redoutable
samouraï, dès que ces hommes croisent zatoichi l'affrontement est inévitable et sa légendaire canne épée entre en action.

Voilà j'ai copié ce résumé que j'ai un peu écourté mais c'était pour donner un aperçu

Je n'ai pas vu le Zatoïchi de Takeshi Kitano (ça viendra, ça viendra...), mais je tenais à dire ce que j 'ai sur le coeur concernant les films se déroulant dans le Japon médiéval : ils ne sont jamais meilleurs que quand ce sont les Japonais qui les font. J'ai vu les Zatoïchis originels du regretté Shintaro Katsu, des oeuvres aussi différentes que les Musashi avec Toshiro Mifune, les Baby Cart (beaucoup, beaucoup plus déjantés que n'importe quel film de Kitano!!!), ou les films de sabres classiques de Kurosawa ou de Hideo Gosha... Et il y a dans chacun de ces films, aussi différents soient-ils (car il ne faut SURTOUT pas croire que ces films se ressemblent tous, il n'en est rien!), un tel sens du spectacle total, qui ne sacrifie jamais à la beauté des images (pourtant somptueuses) un scénario souvent riche et passionnant. Un journaliste a écrit un jour que si le cinéma hong-kongais est souvent étonnant, le cinéma nippon, lui, est souvent merveilleux... Ce n'est peut-être plus vrai aujourd'hui tant la mode de l'épate visuelle systématique a fait porter au pinacle des sous-fifres genre Takashi Miike et ses compères, mais il fut un temps où les plus beaux films du monde se faisaient là-bas. Et même si vous ne me croyez pas, le jour où Kwaidan sortira en DVD (je sais c'est pas demain la veille), bah vous comprendrez... Oh, ça, oui, vous comprendrez...

Alors, c'est marrant ce que tu dis là O-ren, parce que ça m'a fait penser à une conversation que j'avais eu avec un copain fan de ciné japonais...

Et il en était ressorti que tout les deux, on trouvait que le ciné japonais était plus respectueux au niveau réalité historique dans les decors, l'habillement, etc... (j'précise que le pote en question est dessinateur)

Bien comment j'ai eu ma médaille de la défense nationale, déjà?
J'aurais bien voulu en combattant un samourai, mais pendant mon service cela aurait été plutot en me battant contre le riz cantonais trop compact et gluant .
Non, j'ai reçu cette médaille pour le nombre de gardes effectuées et les sorties terrain. Si certains voient ce que je veux dire, j'étais dans les fusilliers commando pour l'armée de terre.
Ca moins de charme tout de suite, mais c'est la vérité.

Sinon, j'ai vu qu'on avait parlé de Zatoichi. J'adore ce film, il est très bien filmé, les acteurs impeccables, les combats sont beaux et sanglants (trop?), l'histoire est classique mais çà passe bien. La fin est bien délirante dans le bon terme mais j'ai bien aimé justement. La scène où on voit un garçon courir pour devenir samourai est à se tordre de rire.
C'est un film que je conseille au plus haut point

merci, lyra -hime.
pour zatoichi, tu peux le louer sans souci, c'est un conseil de ton sempai

merci, ma douce gente dame . mais il faut dire que Lyra-hime poste plus vite que son ombre (musique d' ennio morricone)